Billy Casper vit dans une petite ville minière du nord-est de l'Angleterre, à Barnsley, dans le Yorkshire. Il a une douzaine d'années et l'univers dans lequel il vit ne correspond pas à son attente. Sa mère ne s'occupe guère de lui son frère aîné Jude, le traite en souffre-douleur. Quelques petits travaux avant l'heure d'ouverture de l'école et de menus larcins lui procurent un peu d'argent de poche. A l'école, Billy est distrait, indiscipliné, entouré de camarades et de professeurs plus hostiles qu'amicaux.. Un jour, Billy déniche un jeune rapace; il vole alors dans une librairie un traité de fauconnerie et entreprend de dresser l'oiseau. Il se donne tout entier à cette tâche et lorsqu'un professeur, attentif, lui demande d'exposer à la classe l'art de dresser un faucon, Billy réussit à intéresser tous ses camarades...Mais le gamin a détourné une petite somme d'argent que son frère lui avait confiée pour jouer aux courses : Jude se vengera en tuant l'oiseau, le seul ami de l'enfant.
Aux prises avec ses obligations sociales et familiales, une jeune artiste de manga s'engage contre toute attente sur la voie de l'émancipation et de la liberté sexuelle.
Sur une île isolée, un jeune couple pénètre dans un restaurant gastronomique ayant une très bonne réputation. Le chef se lance alors dans un menu somptueux assorti à quelques surprises stupéfiantes.
24 heures de délire attendent deux sœurs jumelles que tout oppose. Farouches adversaires, Jane et Roxanne Ryan, 17 ans, sont contraintes de se rendre ensemble à New York pour des raisons toutes différentes. Mais un quiproquo bouleverse leurs plans, les associant malgré elles à une transaction louche...
Deux jumeaux sont séparés enfants par une attaque de la mafia chinoise à Hong-Kong. Leurs parents sont tués et l'un est élevé à Los Angeles tandis que l'autre est recueilli dans un orphelinat chinois. Vingt-cinq ans plus tard, ils se retrouvent, connaissant le nom du meurtrier et décidés à venger leurs parents.
Une comédie musicale sombre plongeant un homme dans le cauchemar de l'infidélité vers la route de la rédemption.
Deux couples partent en vacances au Touquet, leurs histoires vont se mêler ce qui provoquera quiproquos, histoires d'amour et adultères. Pendant dix jours, leur vie va connaître quelques turbulences. Elizabeth Lannier (Charlotte Rampling), femme bourgoise, mère d'Émilie (Lou Doillon) une fille déjantée et tête à claques, enfermée dans son quotidien, décide de partir faire un « break » dans un grand hôtel du Touquet sans son mari Bertrand Lannier (Jacques Dutronc), agent immobilier, resté à Paris avec son très jeune amant. Véro (Karine Viard) son amie, fauchée, en quête d'une reconnaissance sociale, décide de la suivre malgré son mari, Jérôme (Denis Podalydès) sans ambition, chômeur et ruiné. Elle fait la rencontre de Lulu (Carole Bouquet), avocate, mariée à Jean-Pierre (Michel Blanc), un mari jaloux maladif, hypocondriaque...
La Coccinelle ne remporte plus aucune course. Abandonnée par son nouveau propriétaire, Simon Moore III, elle est sauvée par Hank Cooper, un pilote malchanceux devenu mécanicien. Pour aider ce dernier à retrouver la plus haute marche du podium et l'amour d'Alex, son ancienne fiancée, Choupette reprend la compétition. Elle va devoir affronter Horace, la nouvelle voiture de Simon...
Davey Stone, un jeune homme de 33 ans, échappe de peu à la prison. Le juge lui donne en effet une chance de se racheter en lui demandant d'entraîner les Knicks, une petite équipe new-yorkaise de basket-ball. Davey accepte et se voit bientôt aider par Whitey Duvall, un vieil entraîneur excentrique. La collaboration entre les deux hommes ne va pas être facile...
«Dans cette lettre d'Adieu à Ana (alias l'Anorexie), je révèle les souffrances liées à cette maladie. J'y exprime également avec sincérité mon désir profond de retrouver ma liberté et ma vitalité en relatant de manière honnête mes progrès ainsi que mes rechutes. À travers l'entremêlement de dessins et de poésie, je partage cette quête de reconstruction qui, j'espère, apportera un éclairage sur l'anorexie mentale ainsi qu'un brin d'espoir.»