Tous les deux sont libraires. Kathleen tient une échoppe au charme suranné, The Shop Around the Corner, et a initié aux joies de la lecture des ribambelles d'enfants tandis que Joe possède une chaîne de librairies de grande surface, Fox Books, qui a rapidement éliminé ses concurrentes. Kathleen hait plus que tout au monde Fox Books tandis que Joe attend nonchalamment de rayer des librairies celle de Kathlen. Ils ne se connaissent pas mais se croisent tous les jours et surtout comme dans le film de Lubitsch échangent une correspondance follement amoureuse par le biais d'Internet.
Ayant involontairement empoisonné le cheval d'un agent de la police montée, Kenny se retrouve en prison. Pour rassembler l'argent de sa caution, ses trois meilleurs potes décident de créer un service de livraison à domicile de marijuana. Ils vont pour cela, puiser dans les stocks d'échantillons de l'Office du contrôle pharmaceutique.
Arthur Percier, marié, professeur des écoles, aime sa vie et son métier. Mais derrière cette façade bourgeoise, il mène une double vie. À la nuit tombée, il part en quête de jeunes hommes qu’il paie pour des services sexuels. Une nuit, il rencontre un ancien élève. Les deux hommes engagent une conversation et partagent un bref moment de complicité.
Un groupe de rock composée de charmantes demoiselles se retrouve confronté à un serial killer...
Après une dure journée à faire du volley-ball sur la plage, un jeune décide d'organiser une soirée, profitant de l'absence de ses parents. Après quelques petites frayeurs orchestrées par les petits copains des filles, il se trouve qu'un invité surprise se joint à la fête. Un serial killer qui a aussi envie de s'amuser...
Des filles de rêves, spécialistes des "effeuillages" les plus suggestifs, travaillent dans la plus belle boîte de strip-tease de la ville. Alors que l'une d'entre elles fait d'horribles cauchemars,ses amies se font tuer entre deux séances de travail. Le problème est qu'elles se font assassiner exactement comme dans ses rêves, au point que la police finit par la soupçonner... Mais le spectacle continue, et le froid de la mort est plus vif sur un corps nu...