Ce concert récemment remasterisé présente une version étendue de ce que les fans ont vu et entendu il y a plus d'un quart de siècle. Il comprend 7 chansons inédites du Live From Leningrad original, y compris une performance bonus de "Pressure".
La vie d'Olfa, Tunisienne et mère de 4 filles, oscille entre ombre et lumière. Un jour, ses deux filles aînées disparaissent. Pour combler leur absence, la réalisatrice Kaouther Ben Hania convoque des actrices professionnelles et met en place un dispositif de cinéma hors du commun afin de lever le voile sur l’histoire d’Olfa et ses filles. Un voyage intime fait d’espoir, de rébellion, de violence, de transmission et de sororité qui va questionner le fondement même de nos sociétés.
Allemagne, 1927, le parti nazi ne represente que 2,6% de voix. A Berlin, la vie culturelle est intense. Harry Frommermann, fils d'un chantre juif russe décédé, passionné de musique décide de créer un groupe. Il passe une annonce dans la presse locale. Le groupe est formé. Apres maintes altercations le style est trouvé: ce sera le swing. Nos musiciens vont connaitre le succes au point d'entamer une tournée en Amerique. De retour en Allemagne, le parti nazi gagne les elections. Frommermann et deux autres musiciens juifs du groupe sont interdits d'exercice.
Sara (Julia Stiles) est une jeune provinciale qui rêve de devenir danseuse étoile. Elle s’entraîne jour après jour dans le but d’intégrer la prestigieuse Ecole Julliard. Malheureusement son grand rêve s’effondre avec le décès prématuré de sa mère, alors qu’elle entre en scène pour sa première audition. Recueillie à Chicago par son père (Terry Kinney), un musicien sans le sou qu’elle connaît à peine, Sara plonge dans un univers dont elle ne comprend pas les codes. Seule lycéenne blanche de sa classe, elle se sent rejetée jusqu’au jour où elle sympathise avec une de ses camarades de lycée, Chenille (Kerry Washington) et avec son frère, Derek (Sean Patrick Thomas). Derek est un jeune étudiant brillant, mais il est surtout la star de la piste de danse du club de Hip-Hop local. Leur rencontre est le choc de deux cultures, le mariage improbable de deux musiques que tout paraît opposer.
Dans un Tokyo futuriste, une immense guerre des gangs fait rage et divise la ville en quatre clans qui veulent imposer leurs règles. À la tête de deux bandes, deux anciens amis rivalisent et les rancoeurs et sentiments personnels viennent se mêler aux affrontements des hommes dans un chaos toujours grandissant.
Les Franglaises est un spectacle mêlant humour, musique, théâtre et danse. Le principe est simple : représenter en français les plus grands tubes anglophones traduits de manière littérale et malicieuse, un peu à la façon contemporaine des traductions automatiques d'internet. Chaque chanson est accommodée à la sauce Tistic avec des arrangements vocaux originaux et des chorégraphies aussi soignées que décalées. Entre hommage et fine moquerie, les Tistics détournent la pop-culture pour offrir une revue théâtrale irrésistible, intégrant le public, et faisant de ce spectacle hybride et débridé un vrai régal musical. A travers un moment jubilatoire et convivial, c'est l’occasion de découvrir la face cachée de ces chansons qui appartiennent à la culture mondiale. Les Tistics testent vos connaissances musicales et entendent bien égratigner quelques grands mythes au passage...
Plongée très intime dans l'univers de la chanteuse Madonna, à travers les différentes étapes de tournée mondiale « The Blonde ambition tour » de 1990.
Capté les 11 et 12 décembre 2008, il propose 24 titres extraits du répertoire de l'artiste, pour une durée de plus de deux heures. Un plat de résistance consistant donc, et qui débute de manière surprenante par la délicate et intimiste « Samedi soir sur la terre », qui préfigure pourtant du voyage dans lequel Cabrel va emmener son public. Car c'est à une escapade amoureuse que l'artiste convie les spectateurs du Casino de Paris. « Ces chansons, ce sont toutes des chansons d'amour », dit-il a plusieurs reprises durant le concert. Cette délicate intimité, cette proximité avec le public et cette fusion quasi-sensuelle entre l'artiste et ses musiciens charismatiques et talentueux offre à l'ensemble une ambiance envoûtante et éthérée qui plane sur le concert. Il faut dire l'album Des Roses et des Orties, interprété dans son intégralité ou presque (seules « Des gens formidables » et « Elle m'appartient » ne sont pas jouées)