La première partie d'Olympia, un documentaire sur les Jeux olympiques de 1936 à Berlin, réalisé par la réalisatrice allemande Leni Riefenstahl. Le film a été projeté dans les salles en 1938 et à nouveau en 1952 après la chute du régime nazi.

C'est le jour du concours. Les aspirants cinéastes franchissent le lourd portail de la grande école pour la première, et peut-être, la dernière fois. Chacun rêve de cinéma, mais aussi de réussite. Tous les espoirs sont permis, toutes les angoisses aussi. Les jeunes gens rêvent et doutent. Les jurés s'interrogent et cherchent leurs héritiers. De l'arrivée des candidats aux délibérations des jurés, le film explore la confrontation entre deux générations et le difficile parcours de sélection qu'organisent nos sociétés contemporaines.

Elle a consacré près de six ans de sa vie au montage de Shoah, le film-fleuve passé à l’histoire du réalisateur Claude Lanzmann. Son nom : Ziva Postec. Cette dentellière de l’ombre a fait don d’elle-même au cinéma jusqu’à l’obsession. Depuis Jaffa, en Israël, elle déroule aujourd’hui ses souvenirs intimes liés à une entreprise de création hors du commun.

Maryam Zaree est née dans l’une des prisons politiques les plus célèbres d’Iran. Elle se lance dans une recherche personnelle d’indices : pour rompre le silence, elle parle à ses parents des violentes circonstances qui ont entouré sa naissance. Et elle demande aux autres enfants nés à Evin leurs expériences et leurs conséquences traumatiques. L’approche cinématographique de Maryam Zaree s’exprime à travers sa propre biographie, mais au-delà, elle nous avertit des horreurs de la persécution et de la déshumanisation en Iran et dans le monde...

Plus de quarante mille réfugiés du Darfour, soumis à des viols, des pillages et des meurtres par les milices progouvernementales de leur pays, ont franchi la frontière pour se retrouver dans le camp de Breidjing, à l'est du Soudan, devenu au fil des ans une véritable ville.