Le roi « Nous Premier » a trois filles : Drahomíra, Zpěvanka, (la chanteuse), et Maruška. Lorsqu'il leur demande comment elles l'aiment, Maruška, sa préférée, l'offusque lorsqu'elle répond qu'elle l'aime comme le sel. Profondément vexé, le roi la chasse et fait détruire tout le sel du royaume pour lui prouver que celui-ci n'a aucune valeur. Seules, une jeune veuve et une vieille femme maniant aussi bien les simples que les sortilèges parviennent à garder leur provision de sel. Mis au régime sans sel, les courtisans quittent le château, les princes venus courtiser les princesses partent eux aussi, mais en emportant le trésor royal...
Vêtu d'un smoking, le Grand Méchant Loup annonce le programme de la soirée : l'histoire du Grand Méchant Loup et des trois petits cochons, sur la musique des Danses hongroises de Johannes Brahms. On assiste à la construction de la maison de chaque cochon, les deux premiers cochons dansent et jouent, le loup arrive et, déguisé en gitane, les attrape presque. Ils courent se cacher dans la maison en briques, où le loup tente diverses ruses pour entrer, notamment en s'habillant comme une vieille femme pauvre réduite à jouer du violon pour les dons. Il trompe les deux simples cochons et pénètre à l'intérieur. Va-t-il manger du porc ? La maison a un ascenseur, le loup prend la cage d'ascenseur.
La suite des aventures de Giselle, la princesse d’Andalasia, chassée de ce royaume imaginaire et contrainte de s’installer à Manhattan. Elle a fini par y trouver son prince charmant en la personne de Robert Philip, un avocat spécialisé dans les procédures de divorce. Quinze ans plus tard, alors qu’elle emménage dans le quartier résidentiel de Monroeville avec son mari et leur fille adolescente, Morgan, elle va devoir redonner un sens à l’expression « … et ils vécurent heureux ».
Le grand méchant loup apprend à trois petits loups les bases de leur nourriture et de la cuisine, principalement du cochon. Du côté des porcins, Naf-Naf finit l'installation du Pacificateur de loup tandis que les deux autres petits cochons jouent à crier au loup sur leur frère. Mais le loup arrive déguisé, capture les deux joueurs et les enferme dans son antre...
Le film présente cinq vignettes sans lien entre elles, chacune décrivant le besoin et le désir de connexion humaine.
M. Feydeau a le blocage de l'écrivain, et il a besoin d'une nouvelle pièce. Et il prend l'occasion d'observer la classe supérieure de Paris en 1900 - M. Boniface avec une femme dominatrice, et l'autre porte mari négligent Henri avec une belle épouse Marcelle, mais ignoré. Henri retrace les anomalies architecturales (la plupart des sons fantômes sont des drains), et prévoit une nuit à l'Hôtel Paradiso, mais cet hôtel est le lieu d'assignation de Marcelle et Boniface. Une femme, deux maris, un neveu, et la femme de chambre Boniface guilleret, tout à ce «à l'heure» hôtel, et la consommation de l'affaire est, pour dire le moins, gravement compromise (pas moins d'une descente de police). Tout cela sous l'œil de Feydeau, et son jeu est le «succès fou» de la prochaine saison
Résumons-nous. Blanche-Neige a été ressuscitée d'un smack par le Prince Charmant. Sur ce, ils se marièrent, furent heureux et eurent beaucoup d'enfants. Fin de l'histoire. Ce qui est, admettons-le, un peu hâtif. Reprenons. Ils se marient. Et puis après ? Après, une pseudo Bonne Fée plus très fraîche rapplique dare-dare dans le paysage. Elle en pince sévère pour le Prince, c'est rien de le dire. Elle le veut, elle l'aura, morbleu. Un revers de baguette magique et voilà qu'apparaît la Belle au Bois Dormant. Dormant donc. Le Prince Charmant, obligeant, la réveille d'un baiser. Funeste erreur. Dès lors, rien ne va plus : la chasse à la Blanche Neige est déclarée ouverte, Cendrillon déboule au débotté, les Sept Nains s'énervent tout vert et un ogre gravement sous-alimenté met les orteils dans le plat. Déjà, on soupçonne le rififi olympique, le conte de fées qui part en quenouille...