Un vagabond recueille un enfant abandonné par sa jeune mère qui, quelques années plus tard, est prise de remords et tente de retrouver son fils.

En 2026, une métropole à l’architecture fantastique vit sous le joug d’un groupe de tyrans. Les aristocrates se prélassent et se divertissent dans de somptueuses demeures et de luxuriants jardins, tandis que la grande masse de la population travaille, dort et survit durement dans les profondeurs de la terre. Le fils du maître de la ville découvre avec effarement l’existence du monde souterrain, où se rencontrent en secret les ouvriers, peu enclins à supporter pour toujours leur situation. Pendant ce temps, un savant invente une femme‐robot qui doit détourner les opprimés de leur révolte…

Tourmenteur de l'humanité avec la guerre, la peste ou la famine, Méphisto considère que la terre lui appartient. L'Archange Gabriel lui évoque le nom de Faust, un vieux savant, un juste dont la vie entière est la preuve que la terre n'est pas totalement soumise au Mal. Méphisto promet de détourner de Dieu l'âme de Faust. Alors la terre sera tienne, promet l'Archange... Dans son village décimé par la peste, Faust, désespéré, trouve un grimoire lui permettant d'invoquer le Diable, et signe avec lui un pacte de 24 heures pour sauver les malades. Mais les villageois s'en aperçoivent et veulent le lapider. En proie au suicide, Faust accepte une nouvelle proposition de Méphisto : retrouver sa jeunesse en échange de son âme…

Le portier du grand hôtel " Atlantic " est très fier de ses prérogatives : il occupe une fonction prestigieuse, que son costume désigne aux yeux de tous. Dans son quartier, il est respecté et envié. Or, un matin, en arrivant à son travail, il constate qu'il a été remplacé. Le directeur de l'hôtel lui explique, sans ménagement, que cette mesure est due à son grand âge. On lui arrache sa somptueuse livrée et on le relègue au gardiennage des lavabos. C'est la pire des humiliations. Le soir venu, l'ex-portier vient en catimini récupérer sa livrée, afin de donner le change à son entourage. Mais une commère a été témoin de sa déchéance. Elle la révèle à tout le quartier, qui tourne en ridicule le pauvre homme. A bout de forces, il vient se terrer dans ses lavabos, où un veilleur de nuit le découvre, prostré...

Le week-end berlinois de cinq jeunes gens de condition modeste. Un des derniers films muets allemands et la première mise en scène de Robert Siodmak.

À Vienne en 1921, dans la rue « Sans Joie » d’un quartier misérable, sévissent une mère maquerelle manipulatrice et un boucher impitoyable alors que famine et misère écrasent les foyers des pauvres gens et la classe moyenne. La prostitution dans les endroits fréquentés par des riches reste la seule solution pour survivre. Une jeune femme dans le besoin se laisse tenter par une entremetteuse. Finalement, l’amour d’un soldat américain la sauvera de la déchéance.

Sur un scénario de Buñuel et Dali des images folles, un film choc qui fut longtemps frappe d'interdiction et provoqua la parution du « Manifeste surréaliste ».