Une porte condamnée dans un appartement de Belgrade révèle l’histoire d’une famille et d’un pays dans la tourmente. Tandis que la réalisatrice entame une conversation avec sa mère, le portrait intime cède la place à son parcours de révolutionnaire, à son combat contre les fantômes qui hantent le passé et le présent de la Serbie, dix ans après la révolution démocratique et la chute de Slobodan Milošević.

Belgrade, 1954. Deux frères mariés partagent, avec leur famille, un même appartement, sans partager les mêmes convictions politiques. Zoran, 10 ans, est le témoin de ces disputes. À l’école, il tombe amoureux de Jasna, orpheline de guerre de 12 ans, et vit une passion parallèle et onirique avec le camarade Tito. Jasna et lui gagnent un concours de poésie dont la récompense est un pèlerinage pédestre au village natal de Tito.

Les Californie sont Atomes en dernier lieu sans espoir de se déplacer vers le haut. Mais en passant la mule de mascotte de l'équipe de membre de l'équipe, (Il peut lancer 100 buts sur le terrain de la cour!) Ils commencent à gagner et monter dans le classement, Hourra! Le concours est pas si heureux.

Un documentaire sur la confrontation en Serbie d'un artiste avec sa propre existence sous le régime dictatorial de Slobodan Milosevic. A travers son témoignage personnel, on découvre une société en état de décomposition.

1943, une unité de pilotes d'élite féminine est enrôlée pour livrer une arme secrète vers une base américaine du Pacifique. Elle est attaquée par des ptérosaures, de gigantesques reptiles préhistoriques volants...

Un film qui s'inspire de la beauté des tombes médiévales disséminées dans les montagnes de Bosnie-Herzégovine et du poème que Mak Dizdar y consacra. Bakir Tanović explore un passé lointain immortalisé par des inscriptions sur ces pierres séculaires. Un poème cinématographique hiératique et rigoureux.