Tout commence sur un balcon où un homme aiguise un rasoir… La suite est une série de métamorphoses surréalistes. Un homme sectionne l’œil d'une jeune fille. Un nuage passe devant la lune. Huit ans après. Un cycliste tombe accidenté dans la rue. La jeune fille lui porte secours et l'embrasse…

Harry et Sally s'entendent comme chien et chat. Après la fac ils prennent la même destination, New York, mais ne se reverront que cinq ans plus tard, par hasard, dans un aéroport. Chacun a fait sa vie, ils se sont fiancés. Cinq ans passent encore, ils se rencontrent à nouveau. Tous deux viennent de rompre et dans cette étape difficile, ils se découvrent une vraie amitié. La complicité les rapproche à tel point qu'ils finissent par admettre, ce que leurs amis savaient déjà : ils sont faits l'un pour l'autre.

Sur un scénario de Buñuel et Dali des images folles, un film choc qui fut longtemps frappe d'interdiction et provoqua la parution du « Manifeste surréaliste ».

The Sweet Life ressemble à un road trip amoureux. Le récit s’attarde sur un homme et une femme hantés par le suicide. Ils se rencontrent par hasard et décident de se rendre au Golden Gate Bridge pour commettre l’irréparable.

La vie dure quotidienne des trafiquants de drogue du Nouveau-Mexique qui, s'ils ne sont pas occupes a de sanglants reglements de comptes, sombrent dans les bras de fort pulpeuses demoiselles.