En 1988, Christian Fechner, producteur de films à succès, appela Jean-Michel Ribes pour évoquer avec lui un projet d'émission comique à grand spectacle. Ce dernier lui proposa l'idée d'un grand hôtel de luxe où le monde entier et ses absurdité pouvait apporter sa folie. L'émission "Palace" était née. Jean-Michel Ribes réunit les principaux auteurs de "Merci Bernard", à savoir Roland Topor, Jean-Marie Gourio, Gébé et François Rollin, qui furent rejoints par les dessinateurs Wolinski et Willem.

Paris, 1942. Le port de l'étoile jaune est décrété. Au bord de la faillite, Joseph Haffmann, un joaillier juif, propose à son employé, Pierre Vigneau, de lui confier sa boutique s'il accepte de la cacher jusqu'à ce que la situation s'améliore pour la communauté juive de France. Peter prendra-t-il le risque d'héberger clandestinement son "ancien" patron ? Et si oui, sous quelle condition ?

Les mésaventures de Max Fischer, élève de la Rushmore Academy. Personnage hors normes, génie fougueux et brouillon, Max ne peut fournir qu'un minimum d'efforts à ses études et s'est résigné à devenir l'un des pires cancres de son établissement. En dépit de ses échecs scolaires et des admonestations répétées de son directeur, Rushmore n'en reste pas moins à ses yeux un paradis et un sanctuaire idéal pour exercer en toute liberté son inlassable créativité.

A Paris, dans l'étude de notaire de Maître Rocher, les intrigues vont bon train et la standardiste, Melle Alice Postic, intarissable bavarde à l'humour frappé fait régner la gaîté. Elle va être le témoin d'un assassinat et découvre son patron, le notaire Maître Rocher, avec un poignard planté dans le dos. Elle alerte la police et s'évanouit. Quand elle revient à elle, le mort a disparu et le terrible inspecteur Henri Grandin, surnommé "Tête de fer" fait irruption dans l'étude pour résoudre cette énigme et retrouver ce cadavre voyageur. Alice et Henri se reconnaissent, amis d'enfance ils vont mener l'enquête tant bien que mal, car notre standardiste, trop bavarde, embrouille les pistes.

Castella est un chef d'entreprise peu porté sur la culture. Pourtant, un soir, en allant par obligation assister à une représentation de "Bérénice", il tombe en adoration du texte et de l'actrice principale, Clara. Par une coïncidence, celle-ci va lui donner des cours d'anglais, nécessaires à son travail. Castella tente de s'intégrer à ce milieu artistique mais sans grand succès. On ne bouscule pas ainsi les cadres de références et les barrières culturelles sans faire d'histoires.

Venue tenter sa chance à Hollywood, Isabella rencontre Arnold, un charmant metteur en scène de Broadway. C’est à cet instant que sa vie bascule. À travers les souvenirs – plus ou moins farfelus – qu’elle confie à une journaliste, l’ancienne escort girl de Brooklyn raconte comment ce «rendez-vous» lui a tout à coup apporté une fortune, et une chance qui ne se refuse pas... Tous ceux qui se trouvent mêlés de près ou de loin à cette délirante histoire vont voir leur vie changer à jamais dans un enchaînement de péripéties aussi réjouissantes qu’imprévisibles. Personne n’en sortira indemne, ni l’épouse d’Arnold, Delta, ni le comédien Seth Gilbert, ni le dramaturge Joshua Fleet, pas même Jane, la psy d’Isabella...

Recherchés pour un crime qu'ils n'ont pas commis, Arthur et Maurice, qui rêvent de devenir acteurs, se réfugient clandestinement à bord d'un paquebot. A bord des personnages interlopes et un navire qui va droit à la catastrophe, à moins qu'Arthur et Maurice ne fassent leur grand numéro de héros.

Beaumarchais lui-même résumait sa pièce ainsi : « La plus badine des intrigues. Un grand seigneur espagnol, amoureux d'une jeune fille qu'il veut séduire, et les efforts que cette fiancée, celui qu'elle doit épouser, et la femme du seigneur, réunissent pour faire échouer dans son dessein un maître absolu que son rang, sa fortune et sa prodigalité rendent tout puissant pour l'accomplir ». Marcel Bluwal considère cette pièce comme à la fois « une pièce comique, baroque, un drame bourgeois, un numéro de chansonniers, une satire sociale, une farce et une très jolie histoire d'amour ».

Un vieil écrivain misanthrope dialogue avec une nièce tombée du ciel. Celle-ci parvient peu à peu à le dérider et à lui redonner le goût de l'existence.

Cette pièce traite, avec beaucoup d'humour, des difficultés que rencontre un producteur de spectacles sans ressources pour monter une pièce de théâtre. Il y arrivera après de nombreux avatars et de multiples péripéties.

Dans un monde idéal, les assureurs seraient tous francs et honnêtes et les assurés leur diraient toujours la vérité... Mais le problème, c'est que justement on ne vit pas dans un monde idéal ! Ainsi, pour réussir à signer sa nouvelle police d'assurance, un célèbre humoriste va s'embarquer dans une série de mensonges improbables... Et il va découvrir bien malgré lui que, dans les assurances comme dans la vie, la franchise est obligatoire !

Marcel Pagnol, écrivain et cinéaste parmi les plus grands, et Jules Raimu, son ami et acteur fétiche devenu mythique, ont entretenu leur amitié par une remarquable relation épistolaire. Elle révèle la sensibilité, l'humeur changeante, l'espièglerie de la relation entre ces deux hommes hauts en couleurs, à travers les projets qu'ils ont menés ensemble jusqu'à la mort prématurée de Raimu. Jules et Marcel tisse ainsi la toile de leur éternelle amitié, profonde et féroce, mêlée de mauvaise foi truculente, de fâcheries épiques, d'admiration réciproque, de pudeur, d'humour, de souvenirs ... sans oublier de savoureuses envolées lyriques ou drôlatiques, ironiques ou émouvantes.

Le 14 juillet 1962. C'est l'effervescence au célèbre cabaret "Le Glamour". L'affriolante chanteuse Lola-Lola débute un nouveau tour de chant : on affiche complet. Mais stupeur et catastrophe ! Au sous-sol, dans les toilettes tenues par l'acariâtre Pénélope, on découvre un cadavre chez les ladies.