Nés aux États-Unis en 1948, les Hells Angels ont toujours eu mauvaise réputation, même si le cinéma américain a parfois magnifié ces gangs de motards fous de leurs Harley-Davidson. Les "Anges de l’enfer" sont généralement considérés comme des groupes dangereux et violents, alors qu'eux-mêmes se voient comme des fans de rock, rebelles, solidaires et amoureux de la liberté. Le club des Hells Angels de Stuttgart est le deuxième à avoir été fondé en Allemagne. Son président, Lutz Schelhorn, a rencontré le réalisateur de ce documentaire, Marcel Wehn, en 2008, alors qu'il travaillait sur la déportation des Juifs de Stuttgart. Wehn a commencé à le filmer lors de regroupements, de fêtes du club et aussi dans son intimité familiale. Une immersion étonnante qui contredit la réputation sulfureuse attachée depuis toujours aux Hells Angels. Car si certaines des violences qu'on leur prête sont avérées, comme le reconnaît Schelhorn, elles sont largement exagérées par les autorités et les médias.

Comment un vieil homme soucieux d'assurer son autonomie de déplacement avec une voiture pour handicapé extermine toute sa famille.

En pleine guerre du Viêtnam, une bande de motards, les Hells Angels, est envoyée par l'armée américaine pour récupérer un conseiller militaire tombé aux mains des Vietcongs

San Francisco, une bande de racketteurs sans foi ni loi sème la terreur dans les bas-fonds de la cité. Les membres de cette bande sont tous maîtres en close-combat dont les pratiques sont les plus meurtrières. Ils sont les seigneurs de la mort.

Deux tueurs à moto tirent sur des travestis au Bois de Boulogne. L'inspecteur Gérard Lattuada mène l’enquête et remonte jusqu'au « Grec », grand ponte du banditisme. La femme de ce dernier est arrêtée et se tue en voulant échapper à la police. Le « Grec » charge un tueur de le venger en assassinant la femme du juge qui est aussi la sœur du policier…