"La Boum", son slow culte et le visage de la toute jeune Sophie Marceau font partie de notre imaginaire collectif. En 1980, le film devient vite un phénomène social. Près de quarante ans plus tard, l'époque a changé, mais le culte perdure. "La Boum" est devenu le symbole du "teen movie" à la française, un film réconfortant qui se transmet de génération en génération. A l'heure de Tik-Tok et des applications de rencontres, "La Boum" continue de parler aux jeunes filles qui traversent l'adolescence. Le charme de ce film léger et sans prétention est décrypté par ceux qui l'ont fait et par Suzanne Lindon, Nora Hamzawi, Juliette Armanet, Suzane ou encore Pénélope Bagieu.
On les appelle les Maras. Construits sur le modèle des gangs de Los Angeles, ces groupes de jeunes sèment la terreur dans toute l'Amérique Centrale. Plongée dans les banlieues de San Salvador dans le quotidien des membres d'une armée invisible. Nouveau fléau mondial qui détruit par la violence aveugle les principes démocratiques et condamne à mort une jeunesse privée de tout espoir d'avenir.