Août 1957, à Hiroshima. L'histoire de l'impossible amour d'une jeune actrice française d'une trentaine d'années venue pour jouer dans un film sur la paix, et d'un architecte japonais.

Sur un scénario de Buñuel et Dali des images folles, un film choc qui fut longtemps frappe d'interdiction et provoqua la parution du « Manifeste surréaliste ».

John, un jeune policier dont l'homosexualité a été révélée, est forcé de quitter sa petite ville natale. Il s'installe à West Hollywood avec l'espoir d'une vie meilleure. Il s'intègre facilement à la communauté gay de la ville et participe à de nombreuses soirées où se mêlent le sexe, la drogue et la musique techno. Mais le bonheur est illusoire.

Un groupe de copains en goguette, tous commerçants dans la même rue, se retrouvent un soir dans une boite de nuit. Parmi eux, Jean-Marie et son épouse Nicole. Quinze ans d'amour et de fidélite dans un pressing du centre-ville à traquer la moindre tâche. Sur la scène de la Nuit du temps, un jeune garçon, pour le moins troublant, fait un numéro de travesti avec sa soeur. Il s'appelle Loic, il a une gueule d'ange et joue à l'occasion les entraineuses. Alors commence pour Nicole et Jean-Marie une nouvelle vie, entre nettoyage de jour et dérapages de nuit.

Emma Eckhert, issue d'un milieu modeste, réussit, dans l'entre-deux-guerres, une fulgurante ascension et se trouve à la tête d'une banque et d'un journal financier spécialisé dans l'épargne populaire. Elle sera victime d'une machination politico-financière.

Pablo est sorti acheter des cigarettes et n'est jamais revenu. Obsédé par le souvenir de son torride amant, Dean part à sa recherche en Argentine...

Sweetback, le héros est au début un petit gigolo qui anime des shows pornographiques dans une maison close. Son proxénète le loue à la police pour effectuer un faux témoignage. Pendant le trajet, les agents de police tombent sur une manifestation pro-black et arrêtent un des leaders du mouvement. Alors qu’ils sont en train de passer à tabac le jeune révolutionnaire, Sweetback sort de son mutisme et tue ces policiers.Le film prend alors une autre tournure, notre héros a fait un grand pas pour sortir de cette immense spirale de passivité. La suite des évéments se résume assez bien par l’expression « Running Movie », où Sweetback est en cavale et tente d’échapper à cette interminable traque. Il va passer dans de multiples ghettos avant d’atteindre la frontière mexicaine.Le film nous présente une multitude d’éléments cycliques, du montage à la thématique, dans lesquels Sweetback passe et semble s’être libéré.

Aban, neuf ans, vit avec sa mère Nazanin depuis le divorce de ses parents. Sous la pression du père, Nazanin doit détourner leur enfant de son attirance pour la féminité.