Thomas, un célèbre photographe de mode, prépare un reportage photo sur Londres. Il passe ainsi une nuit dans un asile de clochards, puis reçoit dans son atelier un groupe de cover-girls. Pour compléter son éventail de clichés, il prend ensuite discrètement en photo un couple d'amoureux dans un parc. À sa grande surprise, la femme se précipite vers lui pour lui arracher son appareil. Elle le poursuit jusqu'à son domicile et s'offre même à lui dans l'espoir de récupérer les négatifs. Intrigué, Thomas lui remet une autre pellicule. Une fois le précieux film développé, il découvre sur les agrandissements un corps inerte, caché derrière un buisson, et une main tenant un revolver…

Albert et ses hommes, de sinistres malfrats, sont les habitués du « Hollandais », un restaurant huppé tenu par Richard, un cuisinier français. Un soir, Georgina, l'épouse de l'odieux gangster, remarque un client solitaire et taciturne qui mange, le nez plongé dans ses livres. Fascinée, elle ne tarde pas à se donner à lui. L'homme est en réalité un libraire. Bénéficiant de la complicité du cuisinier, les deux amants trouvent régulièrement refuge dans les toilettes, les réserves ou encore la cuisine du restaurant. Lorsqu'Albert découvre enfin l'infidélité de Georgina, il entre dans une rage folle. Sa réaction est d'une rare violence…

Évocation, à l'aide de poupées Barbie, de la vie de Karen Carpenter, chanteuse des Carpenters, décédée à 32 ans des suites d'une anorexie.

Dieu se débarasse avec un rasoir droit. La Terre Mère, semblable à un esprit, émerge, s'aventurant dans un paysage sombre et stérile. Secousses et recroquevillés, le Fils de la Terre est attaqué par des cannibales sans visage. Présenté de manière surréaliste, sanglante et entièrement visuelle, Begotten raconte la mort de la religion, l'abus de la nature par l'homme et une vision nihiliste de ce qu'est finalement la vie.

"Ghost Cell" est une plongée en relief au cœur des entrailles d'un Paris organique. La ville est observée comme une cellule au travers d'un microscope virtuel. D'abord film documentaire et scientifique, "Ghost Cell" devient progressivement une balade onirique...

Les aventures erotiques et existentielles de miss Monde contes dans une fable boufonne et fantasque qui traite de la liberation de l'homme sous toute ses formes.