Au commencement, un homme et une femme achèvent un pique-nique et entament une sieste au bord d'un lac à Chicago. La caméra qui les filme est placée à un mètre au-dessus d'eux. Elle reste centrée sur ce couple, mais va progressivement s'éloigner vers le haut, permettant au fur et à mesure d'avoir un champ de vision de plus en plus vaste sur ce qui entoure la scène initiale. La largeur du champ de vision et la hauteur du point de vue de la scène sont multipliées par 10 toutes les dix secondes, jusqu'à ce que l'on arrive aux limites observables de l'univers. Une fois « là », dans l'infiment grand, la caméra fait machine arrière, en accéléré, pour revenir sur la main de l'homme (toujours allongé sur l'herbe). La caméra pénètre alors la main de l'homme pour arriver cette fois à l'échelle du plus petit élément connu : le quark.

J.J. Fate nous explique à nouveau pourquoi les accidents qui peuvent nous arriver ne sont pas de sa faute, mais plutôt le résultat d'un manque de précautions. Et il se sert de Donald pour illustrer ses propos...

Une méchante popstar a recours à la magie pour voler le pouvoir de la chanson de Baby Shark et instaurer sa suprématie musicale. Le petit requin parviendra-t-il à rétablir l'harmonie dans l'océan ?