L'histoire d'Aurora Mardiganian (1901-94), survivante du génocide arménien perpétré par l'Empire ottoman (1915-17), devenue une star du cinéma muet hollywoodien.
De la magnifique campagne anglaise aux contrées d’une Europe plongée en pleine Première Guerre mondiale, «Cheval de guerre» raconte l’amitié exceptionnelle qui unit un jeune homme, Albert, et le cheval qu’il a dressé, Joey. Séparés aux premières heures du conflit, l’histoire suit l’extraordinaire périple du cheval alors que de son côté Albert va tout faire pour le retrouver. Joey, animal hors du commun, va changer la vie de tous ceux dont il croisera la route: soldats de la cavalerie britannique, combattants allemands, et même un fermier français et sa petite-fille…
Il y a un siècle, de février à décembre 1916, les Français et les Allemands fournissaient un effort surhumain pour le contrôle de quelques collines de l’est de la France, situées devant Verdun. Un face à face frontal, mené sans l’aide de leurs alliés, armée contre armée, nation contre nation. Aujourd’hui, cette bataille nous paraît absurde. Car elle a provoqué presque autant de victimes dans chaque camp et son utilité stratégique n’a jamais vraiment été démontrée. Mais en 1916, les soldats des deux camps ne l’ont pas jugée absurde : ils ont accepté de se battre. Pourquoi ?
Dans les années 1910, une milice lutte pour libérer la Pologne du pouvoir russe. Quelle place pour l'amour et la loyauté dans ce contexte ? Inspiré de faits réels.
Des soldats afro-américains, les " Buffalo Soldiers " sont pris au piège derrière les lignes ennemies. Après que l’un de ces soldats ait réussi à s’échapper, il reçoit l’ordre de rejoindre une équipe restreinte de troupes blanches, dirigée par un officier marqué par la guerre pour retrouver et sauver les survivants. Laissant de côté leurs différences raciales, les hommes unissent leurs forces pour retrouver leurs camarades...
Le 11 décembre 1917, 1 200 soldats français sont libérés du front italien pour fêter Noël. Le train 612 surchargé ramène les permissionnaires vers la capitale, loin des horreurs de la guerre où ils ont combattu en 1ère ligne face aux troupes Austro-Allemandes. Le 12 décembre 1917, le train déraille dans une descente abrupte de la vallée de la Maurienne et fait 435 victimes... L'accident, classé secret défense jusqu'en 2007 et depuis oublié. Mais cent ans après le drame, les communes de la vallée se sont unies pour commémorer et perpétuer le devoir de mémoire de cette catastrophe ferroviaire qui reste la plus meurtrière de l'histoire du rail.