Mickey, Donald et Dingo sont des chasseurs de fantômes et doivent faire partir quatre spectres d'une maison. Tout commence, lorsque quatre fantômes, hantant une maison déserté par ses habitants, s'ennuient à mourir et décident d'appeler l'agence d'éradication de fantômes de nos trois compères. Ils arrivent dans la demeure avec un bien piètre équipement (fusil de chasse, filet à papillons, etc.). Ils décident alors de se séparer. Pièges, gags et situations des plus cocasses les attendent.

Une jeune femme déterminée et un occultiste mettent en péril leurs vies et leurs âmes pour réaliser un rituel dangereux qui leur permettra d’obtenir ce qu’ils veulent.

Martin passe son temps à faire des farces effrayantes aux habitants de Radiator Springs. Cette nuit-là, le shérif raconte la légende de la lumière fantôme, ce qui laisse Martin pensif.

Après qu'une vieille dame s'est pendue dans une église, un nouveau psychiatre découvre qu'elle était obsédée par la disparition inexplicable de son petit fils de huit ans trois ans plus tôt. Pendant ce temps, trois citadins restaurent une maison dans un village abandonné quand ils se rendent compte qu'elle est hantée. Les deux histoires interfèrent progressivement et il apparaît qu'un enfant nommé Bernodus, disparu dans des circonstances mystérieuses une soixantaine d'années plus tôt, est le lien entre les deux groupes…

Un soir, la gentille famille catholique Baker se fait décimer d'une façon très sanglante... Vingt ans plus tard, un radio amateur capte un message mystérieux sur son CB. Curieux, il traque l'origine du message et tombe sur une autre radio amateur squattant la vieille demeure des Baker abandonnée depuis le tragique événement. Problème: la radio ayant émit le message réceptionné n'est pas branchée... La maison serait-elle hantée par la petite fille Baker et sa poupée-clown?

D'étranges phénomènes apparaissent dans l'est de Los Angeles. Il s'agirait de fantômes qui sèment la terreur. Deux policiers enquêtent pour renvoyer les fantômes chez eux et éviter que le problème ne se répande.