C’est le rush dans la cui­sine du Grill, res­tau­rant très ani­mé de Man­hat­tan. Quand de l’argent dis­pa­raît de la caisse, le ser­vice dégé­nère. Pedro, cui­si­nier rêveur et rebelle, tente de prou­ver son amour à Julia, tan­dis qu’Estella, nou­velle recrue tout juste arri­vée du Mexique, doit navi­guer dans ce chaos.

Hanna, une dame de 66 ans est impliquée dans un accident de voiture ou meurt Luan un jeune immigrant clandestine. Pendant ce temps au Kosovo vit Ismet 71 ans qui est sans nouvelles de son fils, Luan.

De retour en Finlande pour les vacances d’été, Leevi aide son père à restaurer le chalet familial au bord d’un lac. Tareq, un réfugié syrien demandeur d’asile, les aide sur ce chantier. Alors que Leevi trouve refuge dans la littérature de Rimbaud, Tareq tente de se construire une identité dans un monde fait d’inégalités. Loin du regard du père, ces deux hommes que tout oppose se découvrent l’un l’autre. L’amour devient un exutoire… Genre

Faites la connaissance d’El Monstruo, un luchador que les opprimés voient comme un héros du peuple. Malheureusement, El Monstruo vit une double vie fort peu glorieuse : il est à l’emploi d’un cartel de trafiquants d’organes dont les victimes habituelles sont exactement les mêmes gens qui considèrent volontiers le lutteur masqué comme un sauveur! Pour tenir bon, El Monstruo s’appuie sur son roc, Kaylee, sa jeune épouse héroïnomane et enceinte de huit mois. Vous ferez aussi la connaissance de Crystal, une femme d’âge mûr qui vient de surmonter ses problèmes de toxicomanie, et qui s’acharne maintenant à aider son mari à obtenir un nouveau rein par tous les moyens nécessaires. Ces multiples trajectoires vont converger de façon extraordinaire, croisant du même coup la route de deux ex-détenus… Et autant d’existences désespérées vont dérailler encore davantage, jusqu’à l’extrême.

C'est au petit matin que Daïga débarque à Paris au volant de sa vieille voiture avec pour tout bagage un peu d'argent, deux numéros de téléphone et beaucoup de cigarettes. Elle a fait d'une traite la route de Vilnius à Paris, elle est comédienne et un metteur en scène de passage à Vilnius lui a promis de l'aider.

Train d'Enfer est un film français tiré d’une histoire vraie. Un soir de bal dans une petite ville, une bagarre éclate dans un climat teinté de racisme. Trois des meneurs se retrouvent au poste de police. Le lendemain, le 14 novembre 1983, dans le train Bordeaux-Vintimille, les trois hommes candidats à l'engagement à la Légion étrangère, rouent de coups Habib Grimzi, un algérien de 26 ans avant de le défenestrer. Une jeune femme, témoin du meurtre, alerte la police. L’enquête commence dans un climat de tension extrême. En ville, les provocations et les agressions se multiplient…

Naviguant de nuit au large des Comores, Patron, un jeune orphelin, suit silencieusement l'apprentissage de son père "adoptif" pour devenir "commandant". D'ici peu, il emmènera en vedette ses premiers voyageurs clandestins vers Mayotte.

Aïssa est congolaise. Elle est en situation irrégulière sur le territoire français. Elle dit avoir moins de dix-huit ans, mais les autorités la croient majeure. Afin de déterminer si elle est expulsable, un médecin va examiner son anatomie.

Malika devait rencontrer sa mère biologique ce jour-là, mais elle préfère suivre Mimoun, un vieil Algérien qui peine à vivre avec son passé.

Un manœuvre Algérien, Ahmed, jeune père de famille, quitte son pays et débarque en France, pensant y trouver un emploi par l’intermédiaire de Salah, un ami qui demeure en banlieue parisienne depuis plusieurs années. Sa déception est grande quand il arrive à Nanterre, où Salah habite dans un taudis de bidonville. Sans aucun appui, Ahmed va devoir quotidiennement faire le tour des bureaux d'embauche comme des tas d’autres immigrés qui s’étaient bercés, comme lui, de douces illusions…

Deux jeunes Algériens nés en France, quittent la région parisienne pour rentrer avec leurs parents, dans le village de leurs origines. Ils ne parlent ni l'Arabe, ni le Berbère. Première barrière qui les isole de leur nouveau milieu et qu'accentue encore le problème des générations, présent ici comme en France. Celui que pose aux jeune émigrés, la position sociale de la femme algérienne est plus immédiatement ressenti et se révèle générateur de confilts. A la faveur de l'intrigue, c'est tout le le problème de la réinsertion des émigrés sur leur terre d'origine que le film pose et illustre.