Évocation des années de guerre d’Oskar Schindler, fils d’industriel d’origine autrichienne rentré à Cracovie en 1939 avec les troupes allemandes. Il va, tout au long de la guerre, protéger des juifs en les faisant travailler dans sa fabrique et en 1944 sauver 800 hommes et 300 femmes du camp d’extermination d’Auschwitz‐Birkenau.

Varsovie, au mois d’octobre 1939. Un jeune pianiste juif, Wladyslaw Szpilman, est enfermé dans le ghetto avec sa famille. Il assiste, impuissant, aux humiliations que subissent quotidiennement les siens. Grâce à une aide extérieure, il échappe de justesse à la déportation mais voit partir toute sa famille. Le jeune homme se cache alors dans les maisons vides et observe passivement les derniers habitants se révolter contre l’occupation allemande. Après avoir réussi à s’échapper miraculeusement, il se terre dans des quartiers détruits et tente de survivre, ce qui s’avère de plus en plus dur. C’est alors qu’il rencontre un nazi mélomane…

En 1939, dans un théâtre de Varsovie, un jeune lieutenant aviateur quitte chaque soir sa place pour filer dans la loge de la belle Maria Tura, dès que Joseph Tura, le mari, attaque le grand monologue de Hamlet, « to be or not to be ». Mis dans la confidence, Tura accepte d’aider sa femme et le lieutenant dans sa délicate mission. Un agent nazi, le professeur Siletzky, a réussi à s’approprier la liste des familles des pilotes polonais cantonnés en Grande-Bretagne. Le lieutenant Sobinsky a pour mission d’intercepter cette liste avant qu’elle ne devienne une redoutable arme de chantage entre les mains de la Gestapo…

En 1945, quatre personnes déchirées par la guerre se réfugient dans un monastère abandonné de Toscane pour se guérir de leurs maux. Peu à peu le passé va resurgir et la présence d'un homme mystérieux et méconnaissable, le patient anglais, va bouleverser le destin de ceux qui croisent son chemin.

La nuit du 24 au 25 août 1944. Le sort de Paris est entre les mains du Général Von Choltitz, Gouverneur du Grand Paris, qui se prépare, sur ordre d'Hitler, à faire sauter la capitale. Issu d'une longue lignée de militaires prussiens, le général n'a jamais eu d'hésitation quand il fallait obéir aux ordres. C'est tout cela qui préoccupe le consul suédois Nordling lorsqu'il gravit l'escalier secret qui le conduit à la suite du Général à l'hôtel Meurice. Les ponts sur la Seine et les principaux monuments de Paris, Le Louvre, Notre-Dame, la Tour Eiffel… sont minés et prêts à exploser. Utilisant toutes les armes de la diplomatie, le consul va essayer de convaincre le général de ne pas exécuter l'ordre de destruction.

Après l’attaque de Pearl Harbor, les États-Unis et les Alliés doivent protéger les îles du Pacifique contre une invasion japonaise. Mais s’ils veulent faire débarquer leurs troupes sur les îles françaises du Pacifique, ils doivent demander l’autorisation de la France Libre. Le général De Gaulle réclame en contrepartie aux Américains la reconnaissance officielle de la France Libre, de son autorité et de la souveraineté inaliénable de la France sur ces territoires. Le 23 février 1942, le département d’Etat américain publie la déclaration tant attendue par De Gaulle.

Des membres des forces spéciales britanniques et des soldats américains sont largués en territoire nazi afin d'extraire un membre important de la résistance. Lorsque leur avion s'écrase, ils sont recueillis par des soviétiques qui leur propose une alliance pour contrer le Quatrième Reich.