Louis de Funès (1914-83) continue de faire s'esclaffer les téléspectateurs de tous âges. Un portrait attachant qui explique ce succès et démonte la mécanique d'un jeu d'acteur étourdissant.

Ce que nous savons aujourd'hui sur de nombreux musiciens, hommes politiques et actrices célèbres est dû au célèbre travail du photographe Harry Benson. Il a pris des photos vibrantes et intimes du groupe le plus célèbre de l'histoire, les Beatles. Son vaste portfolio s'est enrichi de photos emblématiques de Muhammad Ali, Michael Jackson et Martin Luther King. Son travail très varié est paru dans des publications telles que Life, Vanity Fair et The New Yorker. Benson, aujourd'hui âgé de 86 ans, continue de prendre des photos et n'a pas l'intention de s'arrêter.

Un adulte enfant se jette ou presque de la tour Eiffel et tombe dans les rues de New York, comme un somnambule tombe d'un mur, il cherche la rencontre avec l'impossible, filmer un absent pour connaître les secrets de la création d'une œuvre. Faire la route jusqu'à Mabou, Nouvelle-Ecosse – Robert Frank – c'est lui qu'on veut connaître – y a construit une maison en bois près d'une mer gelée qui parfois se brise en morceaux emportés par le vent. Il habite là. Et cherchant comment se faire, le film se fait. On ne sait pas de quoi il est fait. D'amour, d'admiration, d'un long travail aussi. Le résultat, un chef d'œuvre transparent qui reste ouvert à l'indéfini en route vers l'irrejoignable.

Une immersion intime et spectaculaire de quatre ans dans la vie de François Gabart, génie de la voile et entrepreneur à succès. Alors qu'il est au sommet de son art, les difficultés s'accumulent, il doit se réinventer en tant qu'homme et athlète.