Dublin, années 80. Conor, un lycéen dont les parents sont au bord du divorce, est obligé à contrecœur de rejoindre les bancs de l’école publique dont les règles d’éducation diffèrent de celles de l’école privée qu’il avait l’habitude de fréquenter. Il se retrouve au milieu d’élèves turbulents qui le malmènent et de professeurs exigeants qui lui font rapidement comprendre qu'en tant que petit nouveau, il va devoir filer doux. Afin de s’échapper de cet univers violent, il n’a qu’un objectif : impressionner la plus jolie fille du quartier, la mystérieuse Raphina. Il décide alors de monter un groupe et de se lancer dans la musique, univers dans lequel il ne connait rien ni personne, à part les vinyles de sa chambre d’adolescent. Afin de la conquérir, il lui propose de jouer dans son futur clip.

Deux ans après le succès de F E A R, son dernier album studio, le groupe de rock néo-progressif britannique Marillion revient un nouvel album live All One Tonight. Filmé le 13 octobre 2017, à l’occasion du premier concert de la carrière de Marillion dans la mythique salle du Royal Albert Hall de Londres. Sold-out en quelques secondes, avec des fans venant des quatre coins du monde, ce show exceptionnel est divisé en deux parties. Pendant la première partie, le groupe anglais a interprété F E A R en entier, avant d’être rejoint sur scène par In Praise Of Folly, ensemble composé d’un quatuor à cordes, d’un cor et d’une flûte, qui a apporté une profondeur et une émotion nouvelles aux classiques de Marillion.

Gretta et son petit ami viennent de débarquer à NYC. La ville est d'autant plus magique pour les deux anglais qu'on leur propose de venir y vivre pleinement leur passion : la musique. Le rêve va se briser et l'idylle voler en éclat quand, aveuglé par la gloire naissante, il va la plaquer pour une carrière solo et... une attachée de presse. Ses valises prêtes et son billet de retour pour Londres en poche, elle décide de passer une dernière nuit à New York avec son meilleur pote. Ce dernier l'emmène dans un pub, la pousse sur scène et la force à chanter. Dans la salle un producteur s'adonne à sa plus dangereuse passion : l'alcool. Revenu de tout, du succès et de sa gloire passée, amer, rancunier, il a perdu le fil de sa vie,... Et soudain il entend cette voix, découvre cette grâce, ce talent brut et authentique... Une rencontre enchantée qui pourrait finir en chansons...

Voici un régal rare pour les fans de rock progressif du début des années 70: Peter Gabriel et Genesis ensemble au début de la période classique du groupe, se produisant en direct à la chaîne de télévision belge Pop Shop en mars 1972. Le film d'une demi-heure capture le groupe un peu plus d'un an après l'arrivée de Phil Collins et de Steve Hackett et avant que Gabriel ne commence à s'habiller en costumes extravagants. La groupe comprend Gabriel à la flûte, au tambourin et au chant, Collins à la batterie et au chant, Hackett à la guitare principale, Tony Banks au clavier et à la guitare rythmique et Michael Rutherford à la basse et à la guitare rythmique. Voici la setlist: "The Fountain of Salmacis" "Twilight Alehouse" "The Musical Box" "The Return of the Giant Hogweed" Les chansons sont toutes de l'album Nursery Cryme de 1971, à l'exception de "Twilight Alehouse"

Le film "Depeche Mode 89-90 : si vous voulez utiliser des guitares, utiliser des guitares" est édité en même temps que la sortie remastérisé du septiéme album studio de Depeche Mode "Violator". Violator est sorti le 19 mars 1990. Considéré comme le meilleur album du groupe à ce jour pour ses qualités de production inventives et novatrices, il connut un retentissant succès artistique et commercial. Précédé par les singles "Personal Jesus" et "Enjoy the Silence" (entrés dans le TOPTEN au Royaume-Uni et aux Etats-Unis), Violator propulse le groupe dans la célébrité internationale. L'album a donné deux autres singles, "Policy Of Thruth" et "World in My Eyes". Violator est le premier album du groupe à atteindre la septième place dans le Billboard 200.

Dernier volet de la série de DVD «Mythes & légendes», cette EPOK 4 conclut la brillante rétrospective de 35 ans de musique. Pas d’invité «de marque» cette fois mais deux jeunes musiciens extrêmement motivés et efficaces aux cuivres pour épauler le groupe dans l’interprétation passionnée de morceaux de bravoure comme Zëss ou Otis. Ces 4 semaines de concerts à guichet fermés se devaient de proposer un final à la démesure du projet et c’est 16 musiciens que l’on retrouve sur la scène du Triton pour un Kobaïa d’anthologie qui restera dans les mémoires ! Une fois de plus on doit se rendre à l’évidence : «Hier la musique de Magma était déjà celle du futur, aujourd’hui elle est toujours celle de demain. Demain elle sera toujours indépassée». Sylvain Siclier, Le Monde – novembre 2006.