Kit Vincent, un jeune réalisateur, apprend à 24 ans qu'il souffre d'un mal incurable et qu'il se trouve en phase terminale. Son premier réflexe est d'allumer sa caméra et de filmer, non sans garder un certain sens de l'humour, les différentes et émouvantes étapes qui suivent la découverte de cette terrible nouvelle.

« Tout homme a le droit à un logement décent où il puisse vivre avec les siens. » C’est l’appel lancé par l’abbé Pierre en février 1954 alors qu’une vague de froid s’abat sur l’Europe et que les autorités françaises ferment les yeux. Ce documentaire raconte la genèse d’un destin qui a marqué l’histoire politique, sociale et humanitaire du XXᵉ siècle.

À la suite d'un accident dont il a été victime dans sa jeunesse, Ramón ne peut plus bouger que la tête. « Enfermé dans son corps », il vit depuis presque trente ans prostré dans un lit. Sa seule ouverture sur le monde est la fenêtre de sa chambre à travers laquelle il « voyage » jusqu'à la mer toute proche ; cette mer qui lui a tant donné et tout repris. Pourtant très entouré par sa famille, Ramón n'a plus qu'un seul désir : pouvoir décider de sa propre mort et terminer sa vie dans la dignité…

Dans quelques mois, la loi belge dépénalisant l'euthanasie (seuls quelques rares pays au monde en ont une) aura 20 ans et elle est aujourd'hui largement utilisée : chaque jour, en Belgique, huit personnes meurent parce qu'elles l'ont choisi, avec l'assistance d'un médecin. Le moment est venu d'un premier bilan, parce que la question se pose plus que jamais. Un million et demi de personnes en Belgique ont aujourd'hui plus de 70 ans et elles sont nombreuses à manifester ouvertement leur crainte de mourir mal ou dans la souffrance. Que leur propose la loi en Belgique ? L'euthanasie serait-elle la seule façon d'éviter cette déchéance qu'ils redoutent ? #Investigation a rencontré témoins et praticiens qui racontent leur expérience, leurs certitudes et leurs craintes. En France, pendant ce temps-là, les députés choisissent de laisser tout le monde se débrouiller sans eux...

L'histoire est celle d'une mère très imparfaite et d'une fille rancunière séparées par un grand malentendu. Entre les deux, une autre femme, Ingrid, l'amie de la mère, est la dépositaire de leur douleur et de leur amertume. Martha, la mère, est reporter de guerre et Ingrid est une romancière autofictionnelle.

Durant la Seconde Guerre mondiale, en Allemagne. Kurt Gerstein, médecin en poste à l'institut d'hygiène de la Waffen SS, devient le superviseur de l'approvisionnement en gaz Zyklon B des camps de la mort nazis. De passage à Auschwitz, il découvre, horrifié, la terrible réalité des chambres à gaz. Chrétien convaincu, il décide de porter témoignage, de se faire « espion de Dieu » pour alerter la communauté diplomatique internationale. Aidé par un jeune prêtre italien, il tente surtout de prévenir le Vatican, certain alors de pouvoir stopper ces trains qui alimentent chaque jour les camps en milliers de vies humaines. Inlassablement, jour après jour, sans se décourager, au péril de sa vie, Gerstein poursuit son entreprise de dénonciation, accumulant les documents et les preuves matérielles, s'enfonçant dans le double jeu et le désespoir…

New York, début des années 90… Chaque nuit, Frank Pierce sillonne au volant de son ambulance les rues de Hell’s Kitchen, le secteur le plus dur et le plus insalubre de Manhattan, où il a passé toute son enfance. Aidé par ses coéquipiers, il porte secours à des délaissés que personne n’ose plus approcher. C’est lors de l’une de ces descentes en enfer qu’il rencontre Mary Burke, la fille d’un mourant qu’il a tenté de sauver. Entre l’hôpital et le rue, au milieu des blessés et des suicidaires, entre l’exaltation de sauver une vie et le drame d ‘en perdre, Frank cherche à être en paix avec lui-même. Mais qu’y a-t-il donc au bout de ce tunnel ?

Douze garçons et filles se rassemblent dans un hôpital abandonné pour mourir pour diverses raisons. Là, ils trouvent le corps d'un garçon mort. Les 12 garçons et filles tentent de retrouver la personne qui a tué le garçon. Au cours de leur recherche, les raisons pour lesquelles ils veulent mourir sont révélées.

Emmanuèle Bernheim et Alain Cavalier sont liés par trente ans d’amitié. Ils préparent un film d’après le livre autobiographique de la romancière : Tout s’est bien passé. Elle y raconte comment son père lui a demandé « d’en finir » à la suite d’un accident cardio-vasculaire. Cavalier lui propose de tenir son propre rôle et que lui, soit son père. Un matin d’hiver, Emmanuèle téléphone à Alain ; il faudra retarder le tournage jusqu’au printemps, elle est opérée d’urgence.