Trelkovsky, d'origine juive polonaise, travaille dans un service d'archives et se lie difficilement avec ses collègues. Il visite un appartement inoccupé dans un quartier populaire de Paris et la concierge lui apprend que la locataire précédente s'est jetée par la fenêtre quelques jours auparavant. Trelkovsky s'installe dans l'appartement. Mais il est bientôt victime de multiples vexations de la part de ses voisins...

Lorsqu'il était étudiant en médecine, Doc a épousé Lola, une ravissante jeune fille d'une condition bien inférieure à la sienne, et, privé de ressources, a du interrompre ses études. Ayant ainsi gaché son avenir, il s'est adonné à la boisson. Le couple vieilli mène une vie bien terne lorsqu'une jeune étudiante, Marie, loue une chambre dans la maison. La vie acquiert alors à nouveau un sens, mais Doc ne voudrait pas que Marie commette elle aussi une erreur de jeunesse...

Angéla est journaliste pour une télévision locale. Accompagnée de son caméraman, elle relate le quotidien de ceux qui travaillent la nuit. Ce soir, elle est dans une caserne de pompiers. La nuit est calme, aucune urgence. Jusqu’au coup de fil d’une vieille dame qui réclame du secours. Le tandem suit les pompiers et découvre en arrivant sur place des voisins très inquiets. D’horribles cris ont été entendus dans l’appartement de la vieille dame. Angéla perçoit la tension des habitants, son reportage devrait enfin sortir de la routine… Elle n’imagine pas à quel point !

La terreur règne sur Londres : un tueur, qui se surnomme lui-même « Le Vengeur », s'en prend à de jeunes femmes blondes. Dans ce climat délétère, l'arrivée d'un locataire laconique attise la méfiance des propriétaires de la pension de famille Bunting. Sa personnalité secrète et effacée paraît un aveu de culpabilité. Serait-il le Vengeur ?

Dans le Londres victorien, la terreur règne. Des prostituées sont assassinées et la police peine à trouver le coupable. Cette série macabre coïncide avec l'arrivée d'un étrange locataire dans une pension de famille. Les soupçons se portent sur l'inconnu, qui se révèle être Jack l'Eventreur.

Tandis que son mari est parti au front combattre les Allemands, Anne Hilton doit faire face à tout un tas de problèmes chez elle...

Bernard (Michel Piccoli), réalisateur de cinéma, décide de quitter quelques temps son environnement familial (sa fille d’une dizaine d’années ainsi que son épouse, psychologue pour enfants autistes) pour louer un appartement dans le quartier de Grenelle dans le 15ème arrondissement de Paris afin de pouvoir travailler au calme sur le scénario de son prochain film. Malgré l’aide de son ami Pierre (Michel Aumont), il progresse lentement dans cette écriture, sans cesse dérangé par les autres locataires qui ont décidé de se battre contre les pratiques abusives du propriétaire de l'immeuble qui leur réclame des charges exorbitantes et autres escroqueries. Au début réticent, il tombe sous le charme d’Anne (Christine Pascal), la plus véhémente du comité de locataires qui devient sa maitresse, et finit par se joindre à ses voisins pour les accompagner dans leur combat…

Inspiré d'un fait réel, le film raconte l'histoire de Patty et Drake qui viennent d'acheter la maison de leurs rêves à San Francisco. Pour les aider financièrement, ils décident de louer la chambre du rez-de-chaussée et choisisent un dénommé Carter Hayes qui semble être le locataire idéal. Mais dès son emménagement, les choses tournent mal...

Joe (Jerry O'Connell) serait l'unique locataire de l'immeuble new-yorkais et vétuste dans lequel il vient d'emménager, si l'endroit n'était déjà occupée par une colonie de cafards chantants et dansants avec laquelle il sympathise. Ensemble, ils vont tenter d'empêcher le sénateur Dougherty (Robert Vaughn) de raser leur habitat.

Furieusement calme, c'est en effet le titre de ce 4e spectacle que nous offre François Morency. À la fois bouillant et parfaitement en contrôle, avec son efficacité légendaire, ce vétéran de l'humour nous amène cette fois à rire de la Peur avec un grand 'P': les siennes, les nôtres, les phobies; la peur du refus, de l'engagement, des préjugés et du vide... Dans ce spectacle le plus personnel en carrière, François adopte un ton plus chaleureux et intimiste.