Rize révèle un phénomène urbain qui est en train d'exploser à Los Angeles et de se propager sur la Côte Est. Parce qu'il est au contact de celui-ci depuis longtemps, le photographe David Lachapelle a réussi à saisir la naissance d'une forme révolutionnaire d'expression artistique issue du mal de vivre des exclus du rêve américain : le krumping. Cette danse agressive et visuellement incroyable, alternative à la danse hip hop habituelle, prend ses racines dans les danses tribales africaines et se caractérise par des pas et des mouvements d'une vitesse et d'une difficulté inégalées. Rize suit cette fascinante évolution à travers l'histoire de Tommy le Clown, un éducateur de South Central à Los Angeles, qui a inventé cette danse en réponse aux émeutes raciales consécutives à l'affaire Rodney King.

Plongée très intime dans l'univers de la chanteuse Madonna, à travers les différentes étapes de tournée mondiale « The Blonde ambition tour » de 1990.

S’il y eut un "peintre des danseuses", ce fut bien Degas. Ce documentaire montre avec quel génie Degas a réussi à capter l’essence de leur art. Aucun peintre n’est aussi universellement associé à l’univers de la danse qu’Edgar Degas. Plus de la moitié de son immense production – dessins, gravures et peintures confondus – est consacrée aux ballerines et petits rats. Aucun artiste n’a sans doute observé les danseuses de si près, mieux compris leur nature et mieux rendu leurs mouvements. "La Danse et Degas" est moins un film sur l’histoire de l’art qu’un film sur le ballet et les ballerines, et sur le génie particulier avec lequel Degas a réussi à capter l’essence de leur art. Le film met en scène le Paris de Degas, ramené à deux lieux clés : Montmartre, où le peintre eut toujours son atelier de travail, et le Palais Garnier.

Une chaise pour un ange va à la rencontre de la culture des Shakers, cette communauté religieuse protestante américaine qui a connu son apogée au 19e siècle, mais qui s'est presque éteinte depuis, laissant derrière elle une multitude de créations originales dans les domaines du design de meubles, de l'architecture et du chant. Inspiré par la culture shaker, Tero Saarinen a créé la chorégraphie Borrowed Light, une oeuvre sur la vie en communauté et le sacrifice individuel. Tourné en Finlande et aux États-Unis, avec des extraits de Borrowed Light et des entrevues exclusives, le film examine le paradoxe de l'héritage culturel de cette secte, dont le credo n'accordait aucun intérêt à l'art, ni même à la simple idée de beauté.