Trois petites histoires composent Memories. La première : « Magnetic Rose », deux voyageurs de l'espace sont aspirés dans un monde parallèle sur un astéroïde. Un monde créé par les souvenirs d'une femme. Dans la deuxième, « Stink Bomb », un jeune assistant dans un laboratoire se transforme accidentellement en un arme biologique humaine qui menace Tokyo. L'épisode final et troisième, « Cannon Fodder », relate un jour de la vie d'une ville qui a pour unique préoccupation d'anéantir ses ennemies.

Digital Juice est un recueil de "très court-métrages" d'animation, sans équivalent: introduction "chambara"; premier sketch "Poulet Assurance" où un poulet courtier en assurance tente de fourguer des assurances à des poussins voyous; transition "Kin Jin Kitto" ; deuxième sketch: "Soirée au clair de lune" où une petite fille rêve d'une romance; quatrième sketch par "La table et l'homme-poisson" où un homme-poisson raconte comment il est devenu ce qu'il est; le dernier sketch se présente comme étant l'épisode "Wine-Chan doit être enceinte" de "Bar aérien", tout est dans le titre.

Un jeune cochon et son père vivent au sommet d’une colline menacée par un gros nuage noir. Resté seul sans son père parti combattre les brumes, le jeune cochon trouve du réconfort auprès de son ami le Renard. Ensemble, ils font toutes sortes de découvertes surprenantes… Une sorte de présuite au court-métrage « Le gardien du barrage », (The Dam Keeper), qui raconte les souvenirs d’enfance de Cochon et explique pourquoi et comment il a la lourde responsabilité d’être celui qui empêche la brume d’atteindre le village. Une réédition cinéma de la série « Cochon - Les poèmes du gardien du barrage », (Pig: The Dam Keeper Poems).

Trois courts métrages réalisés par ces mêmes noms qui ont apporté Metropolis, Ninja Scroll, et Akira. Tout commence avec « Labyrinthe labyrinthus », l'histoire d'un labyrinthe dans l'esprit d'un enfant, réalisé par Rintarou. Ensuite Yoshiaki Kawajiri nous donne « Running Man ». Il s'agit d'une course de formule futuriste on est mis sur une piste mortelle. Enfin Katsuhiro Ootomo décrit une lutte pour arrêter une installation entièrement automatisée dans « Ordre d'abandonner la construction ».

John, incapable de comprendre la maladie qui pousse son grand-père entre les états passés et présents, tombe par hasard sur un vieil album plein de photographies et laisse ensuite les images guider son imagination, transformant les souvenirs de son grand-père en interprétations de dessins. Des dessins qui façonnent leur relation dans une histoire de mémoire et de construction de la mémoire.

Un frère et une sœur survivant seuls sous l'eau + un garçon très allergique aux œufs + un homme invisible au reste du monde = trois courts-métrages d'animation.

Le début se déroule dans le désert. En trouvant une affiche annonçant l’arrivée imminente de Robot Carnival, un garçon semble soudain effrayé et en proie à une grande agitation. Il court avertir son village pour s’enfuir, quand une lourde machine grouillante de robots apparaît et c'est une gigantesque forteresse mobile, se dirigeant droit sur les habitations. Autrefois une magnifique fête foraine, ce n’est plus aujourd’hui qu’un engin de destruction endommagé, rouillé et déglingué.

Cinq histoires, cinq maestros, cinq styles et un dénominateur commun : un maximum de créativité. Studio 4°C, le label le plus cool de la planète, nous invite pour la deuxième fois à une réunion exclusive d'un talent avec un film de groupe, plein de liberté et d'ingéniosité, qui va de l'anime classique de Mahiro Maeda, aux croquis urbains complexes de Kazuto Nakazawa , le chahut coloré de Shinya Ohira et le cyberpunk animé de Tatsuyuki Tanaka. Et comme si cela ne suffisait pas, Koji Morimoto, le grand patron du studio, se charge de mettre la cerise sur le gâteau avec une poésie abstraite fantasmagorique qui ferait mourir d'extase un VJ. La fête de l'année.