Le moine bouddhiste Matthieu Ricard effectue un retour aux sources au Bouthan, le pays où il fut initié par les plus grands maîtres. Une quête spirituelle et une multitude de rencontres étonnantes dans ce petit royaume himalayen à la beauté sidérante, plus tout à fait à l’abri des dangers de la modernité.

"L'Homme est un loup pour l'Homme" ont écrit des générations de philosophes ; et l'histoire du monde semble écrite pour illustrer cette phrase implacable. Pourtant, des voix s'élèvent contre cette vision de la nature humaine. Des scientifiques issus de disciplines aussi différentes que la psychologie, la primatologie, les mathématiques ou les neurosciences inventent le vocabulaire d'une autre histoire : l'altruisme et la coopération en sont les maîtres mots. Mieux : "si l'altruisme existe, nous avons la possibilité de le cultiver", affirment ces chercheurs. À l'heure des défis planétaires, qui appellent des changements radicaux, connaître la nature profonde de l'homme – ange ou démon ? – permet ainsi d'imaginer des outils efficaces pour provoquer ces changements.

Grâce à des images rares et à des entrevues spontanées, ce documentaire décrit l'heureuse association du légendaire groupe rock Queen et de l'électrisant Adam Lambert.

Bruce Lee, légendaire artiste martial, est le sujet central de ce documentaire de Lee John Little (lui -même fan de Bruce Lee). Au travers d'interviews, de scènes d'action et de prises de vues en coulisses tirées du dernier film inachevé de Bruce Lee, le Jeu de la Mort, Little nous dépeint un portrait détaillé de l'acteur de films d'action le plus renommé du monde.

Yuichiro Miura, un skieur japonais, a rêvé de littéralement skier sur le mont Everest. Il prévoyait de skier quelque 8 000 pieds sur un glacier glacé à un angle de 40 à 45 degrés, à partir du niveau de 26 000 pieds près du sommet. Le documentaire relate cet exploit incroyable et l'énorme tâche de gravir l'Everest lui-même. Le narrateur lit le journal que le skieur a tenu personnellement. Le film a été produit par le cinéaste canadien Budge Crawley avec les images réalisées pour le documentaire japonais original de 1970 (Eberesuto dai kakko). Crawley a remporté l'Oscar du meilleur long métrage documentaire pour cette photo.

Ce documentaire est sorti en France en 1953 seulement 8 semaines avant que Tenzing et Hillary ne conquièrent le mont Everest. Le premier sommet de 8 000 m à être gravi fut l'Annapurna I, trois ans plus tôt en 1950, par une expédition française comprenant Maurice Herzog, Lionel Terray, Gaston Rébuffat, Jean Crouzy, Marcel Schutz, Jacques Oudot, Francis de Noyelle et le directeur de la photographie Marcel Ichac, le seul à avoir déjà eu une expérience himalayenne (voir 'Karakoram', film de 1936 primé à la Mostra de Venise en 1938). C'est une aventure épique filmée dans des conditions difficiles par un expert du film de montagne de l'époque, qui s'est soldée par une victoire mais aussi avec un dénouement de catastrophes et de blessés.

En 1967, Visconti vint à Alger pour le tournage de l’Étranger avec Mastroianni et Anna Karina. Camus, de son vivant, avait toujours refusé qu’un de ses romans fût porté à l’écran. Sa famille a pris une autre décision. Le tournage du film fut vécu à Alger, comme un retour posthume de l’écrivain à Alger. Pendant le tournage, un jeune cinéaste spécialisé dans le documentaire Gérard Patris s'essaye à un reportage sur l’impact du tournage de l’Étranger sur les Algériens. Entrecoupé de séquences du tournage du film de Visconti, il filme Poncet, Maisonseul, Bénisti et Sénac, amis de Camus, en pleine discussions pour situer Camus et son oeuvre dans un contexte sociologique et historique. "L'idée nous est venue de montrer les gens, les autres, nous-mêmes comme si tous pouvions être Meursault, ou du moins les témoins concernés de son drame".

Jacques Bouveresse plaide pour une forme de rationalisme que l’on pourrait appeler « satirique ». Il a étudié aussi bien les œuvres d’écrivains comme Robert Musil et Karl Kraus que celles de la philosophie de la logique et du langage, de la philosophie des mathématiques et de la philosophie des sciences. Il est aussi connu pour des ouvrages critiques sur les impostures issues d’une partie de la philosophie française des années 1970-1990 et sur celles de la presse, en particulier du journalisme philosophique à sensation.