Sakata protège un petit garçon tout en faisant face à des gangs rivaux.

Le film "yakusa" decrit les marginaux japonais, samourais dechus, voleurs de grands chemins et joueurs. C'est dans les annees soixante que ce cinema connut une tres grande vogue au Japon. L'originalite de ce film reside dans le fait que le heros est une femme, qui vagabonde d'un pays a l'autre. C'est une joueuse de cartes formidable, elle est dotee d'une capacite invincible dans les arts martiaux et au combat. Les heros des films "yakusa" sont devenus aussi populaires que l'etaient les samourais dans les pieces de theatre de kabuki.

Dans un futur proche, la Mafia a mis au point un système infaillible pour faire disparaître tous les témoins gênants. Elle expédie ses victimes dans le passé, à notre époque, où des tueurs d’un genre nouveau (les « Loopers ») les éliminent. Un jour, l’un d’entre eux, Joe, découvre que la victime qu’il doit exécuter n’est autre que… lui-même, avec 30 ans de plus. La machine si bien huilée déraille…

Cinq ans après avoir survécu à la guerre entre les Sanno et les Hanabishi, deux grandes familles du crime organisé japonais, l’ancien chef Yakuza Otomo travaille maintenant en Corée du Sud pour M. Chang, un intermédiaire de renom dont l’influence s’étend jusqu’au Japon. Un incident mineur va mettre le feu aux poudres, provoquant une lutte de pouvoir féroce parmi les plus hauts gradés de la famille Hanabishi. Lorsque la vie de M. Chang sera mise en péril, le dévoué Otomo reviendra au Japon pour régler les choses à sa façon…

Zatoichi est poursuivi à travers la campagne par un groupe de mercenaires. Grâce à la complicité de voyageurs, aveugles comme lui, il parvient à les semer. Plus tard, il croise la route d'une femme, épuisée sous le fardeau de l'enfant qu'elle porte dans ses bras. Charitable, Zato lui donne sa place dans le palanquin qui le transporte. Mais ses ennemis surgissent et tuent l'innocente, croyant éliminer le masseur aveugle. Zatoichi décide alors de prendre l'enfant sous sa protection, le temps de l'amener à son père. Le périple commence…

Zatoichi est hébergé par un parrain qui lui demande, comme service rendu aux yakuzas, de servir de témoin à l'exécution d'un mauvais payeur. Mais les hommes chargés de la besogne s'avèrent incapables de s'en acquitter, et c'est finalement Zatoichi qui effectue le contrat. Il découvre alors que la victime avait une sœur et que c'est en vérité elle qui intéresse le chef du clan, puisqu'il l'a promise à un riche marchand en échange d'un poste de fonctionnaire. La jeune femme veut d'abord assassiner Zato avant de se rendre compte qu'elle est en fait tombée amoureuse de lui. Désormais, le masseur aveugle doit la protéger contre un gang de yakuzas au grand complet, tout en se préparant à combattre un étrange samouraï désireux de se mesurer à lui...

Des paysans, endettés jusqu'au cou, sont dans l'impossibilité de rembourser le chef yakuza d'une maison de jeu. Ce dernier les fait kidnapper et demande à Zatoichi de servir d'intermédiaire pour collecter la somme exigée auprès du propriétaire de la maison de jeu rivale. Quand Zato se rend compte qu'il a été manipulé dans une guerre pour le contrôle des tripots, il est trop tard : son commanditaire élimine l'autre, et accroît son pouvoir. Désormais, Zato a deux objectifs : rétablir l'injustice qu'il a contribué à provoquer, et venir en aide à la femme qu'il a involontairement condamnée à la prostitution en tuant son mari lors d'une embuscade…

Que se passe-t-il lorsqu'on mélange "Les Affranchis" et le basket-ball universitaire ? On obtient "Playing For The Mob," l'histoire du gangster Henry Hill (interprété par Ray Liotta dans le classique de 1990 de Martin Scorsese) qui a aidé à truquer les matchs de basket-ball du Boston College lors de la saison 1978-79. Les détails de ce scandale de matchs truqués sont révélés pour la première fois devant la caméra dans les témoignages des joueurs, du FBI et de ceux qui ont eux-mêmes truqué les matchs, dont Hill, qui mourut peu de temps après cet entretien. "Playing For The Mob" se passe peut-être dans le monde apparemment doré du basket-ball universitaire, mais comme "Les Affranchis", il s'agit d'une histoire d'avidité, de trahison et de comptes à rendre. Finalement, les deux histoires partagent un seul et même message : quand autant d'argent est en jeu, on ne peut faire confiance à personne.