Les Silly Symphonies sont une série de courts métrages animés produits entre 1929 et 1939 par les studios Disney. Les Silly Symphonies n'ont pas de personnages récurrents à quelques exceptions près, comme Les Trois Petits Cochons, Le Lièvre et la Tortue et certains courts avec Pluto. Les histoires prennent principalement leurs sources dans les contes populaires européens et américains.
Sylvester Cat constate que ses gens sont allés en vacances et l'ont laissé seul dans une maison fermée avec une grande reserve de nourriture en conserve dans un placard. Sylvester a besoin d'un ouvre-boîte ou il va mourir de faim. Une satanée souris possède le seul ouvre-boîte dans la maison et les tourmentes Sylvester dans ses tentatives de plus en plus désespérés pour l'obtenir.
1999. La fin du règne de la princesse Millénium approche. Les habitants humanoïdes de la planète la Métal se réveillent de leurs longs sommeils et leur planète quitte son orbite pour se diriger sur la Terre. La princesse Millénium vit sur Terre sous l'identité de Sanae, une jeune institutrice. Sa mission : rentrer en contact avec les humains les plus intelligents pour en faire des esclaves de la Métal. Mais Sanae a passé pratiquement mille ans au contact des terriens et elle s’y est attachée. Elle ne peut se résoudre à faire son devoir de princesse Millénium. Elle tente de trouver le moyen de coexister entre humains et habitants de la Métal. Mais ces derniers décident d’attaquer la Terre.
Une chatte affamée se déguise en une mouffette pour entrer à l'heure du repas au zoo, mais Pepe amoureuse pense qu'elle est une chose réelle et déverse sur son Maurice Chevalier l'impression de la conquérir.
Grosminet, dans la "Société d'observateurs d'oiseaux", observe Titi avec des jumelles, ce dernier est dans sa cage posée sur une fenêtre de l'"Hôtel des petits balais". Titi est aussi en train d'observer, avec des jumelles, Grosminet en disant sa phrase fétiche. Ce dernier veut rentrer dans la Société pour manger Titi mais se fait rejeter par le videur.
Lorsque la firme de high-tech Nebulous Industries annonce recruter des Lapins Crétins pour une mission sur Mars, Hiber n’hésite pas une seule seconde. Génie incompris de ses congénères stupides, il rêve de la planète rouge depuis toujours. Sélectionné par Nebulous il s’élance dans l’espace avec trois autres lapins : Disco, la pile d’énergie reine du dancefloor, Cosmo, le pilote qui en fait des tonnes pour cacher ses problèmes de confiance en lui, et Mini, l’adorable lapin petit format qui ne supporte pas qu’on le prenne pour un enfant. Cette équipe improbable décolle pour Mars mais rien ne se passe comme prévu !
Un canard lutte fortement et finalement coule ses œufs dans le froid amer, après les avoir chuchotés et en voyant les poussins faire du ski, du patinage et profiter de l'hiver à l'intérieur des coquilles. Tout sauf un, c'est-à-dire: le pauvre Robespierre. Elle ne remarque pas tant que le reste de la niche n'a pas baigné et Robespierre a poussé des jambes et s'est enfui à la recherche de chaleur. Il le trouve, sous un ours hibernant («J'ai donc mis un œuf»), mais un loup l'a suivi et attrape l'œuf, avec une aide d'un bâton de TNT. Ce que le loup n'a pas compté, c'est maman, qui est juste derrière lui, avec quelques doigts à la pointe de l'œil. Le loup échange une poignée de porte pour l'oeuf, et commence à faire bouillir l'œuf, mais maman arrive au premier moment pour être rejetée par le bébé qui se réchauffait.
Le bug du jeu provoque la fièvre du jeu chez quelqu'un qu'il mord. Il mord un chat, qui est désireux de jouer au gin-rummy avec un bulldog pour les pénalités. Même s'il continue à perdre et doit endurer de plus en plus de pénalités douloureuses, le gat est obligé par la morsure du jeu de Bug de continuer à jouer.
Les cartoons américains constituent le point de départ d'un nouveau travail de Martin Arnold. Des séquences de courts métrages sont à la base d'un processus de fragmentation, de déconstruction, de démantèlement et de répétition. Arnold utilise un divertissement familial et amusant pour créer des films avec des possibilités d'association ouvertes. Ses pièces, comme Hydra (2013), Charon (2013), Nix (2013) ou Self Control (2011), mettent en scène des personnages dont l'anatomie n'est plus reconnaissable en tant que telle, mais qui ressemblent plutôt à des marionnettes, télécommandées de l'extérieur. Des mains tremblantes, des langues qui dansent, des yeux qui clignotent et des bouches qui ronflent bougent comme des fantômes sur un fond noir profond rappelant un abîme, dans lequel les éléments corporels disparaissent sans cesse, pour réapparaître une fois de plus.
Les cartoons américains constituent le point de départ d'un nouveau travail de Martin Arnold. Des séquences de courts métrages sont à la base d'un processus de fragmentation, de déconstruction, de démantèlement et de répétition. Arnold utilise un divertissement familial et amusant pour créer des films avec des possibilités d'association ouvertes. Ses pièces, comme Hydra (2013), Charon (2013), Nix (2013) ou Self Control (2011), mettent en scène des personnages dont l'anatomie n'est plus reconnaissable en tant que telle, mais qui ressemblent plutôt à des marionnettes, télécommandées de l'extérieur. Des mains tremblantes, des langues qui dansent, des yeux qui clignotent et des bouches qui ronflent bougent comme des fantômes sur un fond noir profond rappelant un abîme, dans lequel les éléments corporels disparaissent sans cesse, pour réapparaître une fois de plus
Les cartoons américains constituent le point de départ d'un nouveau travail de Martin Arnold. Des séquences de courts métrages sont à la base d'un processus de fragmentation, de déconstruction, de démantèlement et de répétition. Arnold utilise un divertissement familial et amusant pour créer des films avec des possibilités d'association ouvertes. Ses pièces, comme Hydra (2013), Charon (2013), Nix (2013) ou Self Control (2011), mettent en scène des personnages dont l'anatomie n'est plus reconnaissable en tant que telle, mais qui ressemblent plutôt à des marionnettes, télécommandées de l'extérieur. Des mains tremblantes, des langues qui dansent, des yeux qui clignotent et des bouches qui ronflent bougent comme des fantômes sur un fond noir profond rappelant un abîme, dans lequel les éléments corporels disparaissent sans cesse, pour réapparaître une fois de plus.
En l'an 4000, l'astronaute Barbarella, alors en vacances, se voit confier par le président de la Terre une mission spéciale. Elle doit retrouver Durand-Durand, un savant disparu il y a quelques années, inventeur de l'arme absolue, qu'il veut vendre à une planète ennemie.