Ayant nécessité près de 220 000 tonnes de pierres pour être construit, le château de Chambord, dans le département du Loir-et-Cher, est un joyau architectural. Il est doté de plus de 70 escaliers, 282 cheminées et 426 pièces. Le majestueux monument comporte son lot de mystères : identité de son architecte, influence du peintre florentin Léonard de Vinci dans sa conception, localisation au milieu de marais perdus au cœur de la forêt et même longévité, car il a traversé le temps sans être endommagé depuis le début de son édification en septembre 1519.
Deuxième partie du drame historique révolutionnaire, qui reprend les événements survenus depuis le 10 août 1792 jusqu'à la fin du règne de la terreur avec l'exécution de Robespierre.
Apres vingt ans de travaux forcés pour avoir volé du pain, Jean Valjean est libéré sur parole en 1812. Sa rencontre avec un évêque qui l'héberge puis l'innocente du vol. Ce qu'il commet envers lui va lui réveler que le genre humain peut être bon. Dix ans plus tard, il dirige, sous une fausse identité, une petite fabrique dans la ville de Vigau dont il est devenu le maire. Apprecié de tous pour sa bonté et sa justice, il vit paisiblement. Mais son passé ne tarde pas à le rattraper sous les traits de l'inspecteur Javert, qui fut autrefois son geolier.
Ancien bagnard, Jean Valjean s'est réinséré dans la société sous une fausse identité. Il recueille la petite Cosette, enfant martyrisée par un couple d'aubergistes, les Thénardier. Mais la haine de l'inspecteur Javert le poursuit.
Le Marquis de Sade explore, par sa plume, le côté interdit de l'homme : les passions obscènes du corps, les pulsions sexuelles, les désirs immoraux. Au début du XIXème siècle, il est considéré comme l'être le plus perfide, le monstre le plus abject, mais aussi comme l'homme le plus libre d'esprit que le monde ait connu. Les frasques du Marquis de Sade ont eu raison de sa liberté et de sa santé mentale. Alors qu'il est au faîte de sa carrière, il se retrouve emprisonné dans l'asile de Charenton afin d'y être " soigné ". Sous le regard attentif et omniprésent de l'abbé de Coulmier, qui soutient pouvoir réhabiliter cet homme, le Marquis de Sade continue ses écrits érotiques et sulfureux. Afin de transmettre les manuscrits au grand public, il est aidé par Madeleine Leclerc, une jeune et innocente femme de chambre. Facilement influençable, elle est la personne idéale pour assouvir ses fantasmes les plus fous.
Jean Valjean (Jean Gabin), un paysan condamné à cinq ans de travaux forcés pour avoir volé un pain, sort du bagne de Toulon en 1815 après y avoir passé dix-neuf ans, sa peine initiale ayant été prolongée de 14 ans pour ses multiples tentatives d'évasion. À Digne, en raison de ce mandat encombrant et dissuasif, il ne trouve refuge pour la nuit nulle part sauf dans la demeure de Monseigneur Bienvenu Myriel (Fernand Ledoux), un évêque charitable qui lui offre un nouveau départ. Repenti, sous une autre identité, Jean Valjean va faire fortune en inventant un procédé révolutionnaire en verroterie et va œuvrer pour le bien au détriment de son propre bonheur. Mais ses ambitions humanistes sont réprimées par des hommes de lois comme Javert père et fils (Bernard Blier) ou des malfrats comme Thénardier (Bourvil), vil aubergiste de Montfermeil. En 1848, dans un Paris qui gronde sous la menace de l’insurrection, Jean Valjean doit lutter pour rester un honnête homme.
Ancien forçat, Jean Valjean, change d'identité et devient M. Madeleine. Tandis que l'inspecteur Javert est toujours à ses trousses, il prend sous son aile la petite Cosette, martyrisée par un couple d'aubergistes, les Thénardier.
Inquiet de la nouvelle orientation imprimée à la révolution en 1793, Danton quitte sa retraite et regagne Paris. Il dénonce la "Terreur" qui règne sur la capitale et affronte son ancien compagnon de lutte, Robespierre.
En 1793, un homme qui a fait fortune au Nouveau Monde revient en France pour divorcer : il retrouve sa femme dans le camp des royalistes.
Sous la Révolution, la vie périlleuse de Grace Elliott, une belle Anglaise royaliste résidant en France, et ses relations, à la fois tendres et orageuses, avec le duc d'Orléans, cousin de Louis XVI, acquis aux idées révolutionnaires. Elle le persuade de l'aider à sauver un proscrit, mais ne parvient pas à le dissuader de voter la mort du roi.
Paris, France, pendant la Première Guerre mondiale. Alors que des milliers de soldats meurent chaque jour sur les champs de bataille, Henri Landru, un marchand de meubles apparemment respectable, marié et père de quatre enfants, alimente sans relâche sa propre et sinistre usine de la mort.
Sous le règne de Louis XV, Benjamin Rathery (Jacques Brel) est médecin de campagne, principalement des pauvres de la région. C'est également un ripailleur perpétuel et un coureur de jupons invétéré, mais une seule fille, dont il est follement amoureux, lui résiste : Manette (Claude Jade), la fille de l'aubergiste. Mais celle-ci n'entend céder au médecin qu'au prix d'un contrat de mariage en poche. Manette est surveillée par son père, qui fait tout pour protéger la virginité de sa fille, qu'il appelle son "petit capital". Sa jolie frimousse, son espièglerie, ses sourires font fondre Benjamin ; mais, loin d'être une écervelée, Manette est une fille qui a du caractère et qui sait ce qu'elle veut et cela se voit. Le franc-parler de Benjamin, et son sentiment d'être égal aux nobles, vont valoir au roturier quelques petits ennuis.
Jean Valjean tente de voler une miche de pain pour nourrir ses petits-enfants, mais il est immédiatement rattrapé par la police et condamné à 5 ans de prison, qui deviennent 18 ans en raison de ses nombreuses tentatives d'évasion. Ayant enfin purgé sa peine, il est libéré mais rejeté par tous. Seule la bonté de l'évêque de Digne, à qui il avait volé deux candélabres, le convainc de changer de vie. Il se construit ensuite une nouvelle identité en tant que M. Madeleine et devient un industriel prospère. Mais pendant toutes ces années, l'inspecteur Javert n'a jamais cessé de le rechercher.
Une femme enfermée à la prison de la Conciergerie, dans la plus lugubre des cellules. Dans ce cachot, deux gendarmes derrière un paravent. Cette femme a trente-sept ans, mais déjà ses cheveux sont blancs. Elle est malade, affligée de terribles hémorragies. Cette femme se nomme Marie-Antoinette de Lorraine, d'Autriche. Voici les quatre derniers jours de Marie-Antoinette.
L'énigme Jacques Doriot, où comment un ancien député communiste de l'entre-deux-guerres bascula dans la collaboration la plus radicale avec l'Allemagne nazie, exhortant ses troupes à "débarrasser la France des Juifs". De l'ancien métallo de Saint-Denis devenu n°2 du PCF, jusqu'au fondateur du Parti populaire français qui aidera à la traque des Juifs lors de la rafle du Vel' d'Hiv', la déchéance morale d'un homme, rongé par sa soif du pouvoir et ses rancœurs.