Avec l'arrivée au pouvoir de Ronald Reagan aux États-Unis en 1981, l'offensive succède à la stratégie de défense. Sous son mandat, les activités dites de déception (autrement dit de leurre) vis-à-vis de l'Union soviétique sont érigées en système.

La Sicilienne Letizia Battaglia commence son combat contre la mafia le jour où elle ose, pour la première fois, diriger son appareil photo vers une victime brutalement assassinée. En exposant le règne barbare de la Cosa Nostra, elle devient un témoin inébranlable de leurs crimes et mène une vie continuellement marquée par le défi et la passion.

Découvrez comment la société Cambridge Analytica en est venue à incarner la face obscure des réseaux sociaux dans le sillage de l'élection présidentielle aux USA en 2016.

Retrouvés dans un carton, des carnets de notes, noircis de textes et de croquis, retracent une immersion dans le milieu néofasciste des années 2010 – et la fréquentation d’un jeune homme raffiné et charismatique, misogyne, raciste, odieux – le diable probablement.

C'est l'histoire d'Alex, il travaille dans un restaurant fréquenté par la haute société londonienne et n'en peut plus de supporter tous les clichés de cette foule outrancière et sans vergogne qui le méprise. Le jour où il pète les plombs et se retrouve à la rue, il décide de se venger de ce monde mené par les riches où les pauvres n'ont pas leur mot à dire. Lui et le petit groupuscule qu'il a réuni est récupéré par les services secret russes qui le soutiennent pour mettre hors d'état de nuire le plus dangereux de leurs ennemis, le premier ministre, être dominé sans le savoir par sa matrone de femme, qui ne voit la vie que par le sexe et la bière et surtout, qui a sa façon très personnelle de régler les situations extrêmes.

À l’approche des élections législatives, prévues mi-octobre, le réalisateur polonais Marcin Wierzchowski est parti à la rencontre de ses compatriotes avec une question en tête : "Ma chère Pologne, que t’arrive-t-il ?". Il nous propose une immersion dans une société polonaise plus clivée que jamais.

D’où vient cette propension humaine à chercher en chacun de nous la ressemblance qui trahirait la filiation, l’identité ? Lucie Szechter s'interroge sur l'hérédité parce qu’au fond, elle voit bien que son oreille décollée est celle de sa mère. Mais le reste de son visage, d'où vient-il ?