En 2000, Cathy Freeman, athlète australienne, emporte la finale du 400 mètres des Jeux Olympiques se déroulant à Sydney en Australie. Première athlète d’origine aborigène gagnant une compétition de ce niveau, elle se déclarait fièrement Australienne et aborigène… 20 ans après, le film nous raconte l’histoire de cette jeune femme, aboutit à ce moment d’unité de la nation australienne et montre la grâce, la force et la beauté de ces instants

Jeux Olympiques de Munich 1972. 121 nations, 7 123 athlètes. Pour la première fois, les chaînes de télévision du monde entier sont là pour retransmettre en direct l'évènement. Des millions de spectateurs découvrent bientôt l'impensable : un groupe de terroristes palestiniens vient de prendre en otage onze athlètes israéliens et exige la libération de 200 prisonniers politiques. Démarre alors un infernal compte à rebours... 30 ans plus tard, de nombreux témoins, dont l'un des terroristes rescapés, éclairent d'une lumière nouvelle cet évènement.

Avec la XIème olympiade, du 1er au 16 août 1936 à Berlin, l'Allemagne focalise l'attention. Le chancelier Hitler entend marquer les esprits avec des festivités grandioses, mais aussi rassurer les grandes nations, inquiètes du bellicisme et de l'antisémitisme du régime nazi. Certains pays appellent même au boycott de la fête du sport et de la paix. Nommé au comité d'organisation des JO, Carl Diem, lui, voit grand. Il confie à Wolfgang Fürstner la construction d'un village olympique plus moderne encore que celui des jeux de Los Angeles quatre ans plus tôt. Il a aussi l'idée d'allumer en Grèce la flamme olympique, avant de la faire porter par un relais d'athlètes jusqu'au stade de Berlin, conçu par l'architecte Werner March. Mais, avec le vote en 1935 des lois raciales de Nuremberg, l'étau se resserre sur les juifs, mis au ban de la nation. Fürstner, mais aussi des athlètes comme Gretel Bergmann, vont en payer le prix…