Un homme réapparaît subitement après quatre années d'errance, période sur laquelle il ne donne aucune explication à son frère venu le retrouver. Accompagné de son fils, il part au Texas à la recherche de Jane, la mère de l'enfant. Une quête vers l'inconnu, une découverte mutuelle réunit ces deux êtres au passé tourmenté.

Monstropolis est une petite ville peuplée de monstres dont la principale source d’énergie provient des cris des enfants. Monstres & Cie est la plus grande usine de traitement de cris de la ville. Grâce au nombre impressionnant de portes de placards dont dispose l’usine, une équipe de monstres d’élite pénètre dans le monde des humains pour terrifier durant la nuit les enfants et récolter leurs hurlements. Le Terreur d’élite le plus réputé de Monstres & Cie s’appelle Jacques Sullivent, alias Sulli. C’est un monstre cornu de 2m40 de haut à la fourrure bleu-vert tachetée de violet. Une nuit, alors qu’il se trouve à « l'étage de la Terreur », il s’aperçoit qu’une porte de placard n’a pas été fermée correctement. Pour vérifier que tout est en place, il l’ouvre, permettant sans le vouloir à Bouh, une petite fille, de pénétrer dans son monde.

Comme son titre l'indique, il s'agit bien d'une histoire vraie, celle d'Alvin Straight qui, a 73 ans, après une mauvaise chute, décide de quitter Laurens, village du nord de l'Iowa, pour aller retrouver son frère ainé qui vient d'avoir une attaque. Les deux frères sont fâchés depuis dix ans.

Cahit, quadragénaire aux tendances suicidaires, tente d'oublier son mal de vivre à grand renfort de drogue et d'alcool. La jeune et belle Sibel est en rupture de ban. Elle aime trop la vie pour faire une musulmane accomplie, ce que désirent tant ses parents. Afin de fuir son entourage, elle feint de se suicider. Mais à la place de la liberté, elle trouve l'infamie. Seul le mariage pouvant la sauver, Sibel demande à Cahit, qu'elle connaît à peine, de l'épouser. Il accepte à contrecoeur, ne sachant s'il le fait pour la sauver ou pour donner enfin quelque relief à son existence. Peu à peu, leur vie commune si artificielle va céder la place aux sentiments...

À la fin du semestre scolaire, Bao est envoyé à Quchi chez son grand-père veuf, car ses parents envisagent de divorcer. Déprimé et maussade, il intègre une petite école primaire où il découvre qu’une une fille de sa classe porte le même surnom que lui: «Bear». Elle habite avec son frère, sa sœur et sa grand-mère qui vit du ramassage et de la vente de déchets recyclables. Mais même si sa famille est pauvre, elle est satisfaite de la vie qu’elle mène. Bao sympathise également avec Mingchuan, un enfant indigène qui est secrètement amoureux de Bear. Ces deux amitiés égaient la vie de Bao en cette période de désarroi familial et lui permettent de reconsidérer sa vision de l’existence.

Alors que les parents de Lara sont tous deux sourds, leur fille entendante est leur lien avec le monde : Lara sert d'interprète à ses parents dans les situations pratiques de la vie, comme par exemple à la banque ou plus absurde et drôle, aux réunions parents-professeurs de son école.

Après Paris, c'est à Miami que la tribu McCallister décide de passer les fêtes de Noël. À l'aube du jour J, toute la famille est sur le pied de guerre et file a l'aéroport en prenant bien garde de ne pas oublier Kevin. Mais celui-ci s'éclipse pour acheter des piles pour son walkman, il ne retrouve plus les siens et s'embarque par mégarde pour New York...

A travers l'histoire d'un groupe d'individus, de milieux et d'âges différents, ce film montre comment l'amour sous toutes ses formes - romantique, familial, l'amour de son prochain ou l'amour de soi-même - influence nos vies. "La Carte du cœur" est une exploration de l'amour et des émotions qu'il peut provoquer : extase, douleur, rire, peur ou rédemption.

Rose vit à Los Angeles, où elle est décoratrice d'intérieur. En apprenant que son père s'est cassé la jambe, elle décide d'aller aider ses parents dans leur exploitation de tulipes, tout en gérant à distance le chantier de décoration sur lequel elle joue sa carrière. Son retour dans l'univers de sa jeunesse et sa rencontre avec Tom, qui travaille pour ses parents, l'amènent à se questionner sur ses choix de vie.

Le jour de la crémation de sa grand-mère, Émilie, une jeune métisse asiatique, se plonge dans les souvenirs de la vieille femme. Elle découvre l’Indochine de Hoà, sa rencontre amoureuse avec Jacques (un colon français), la naissance de Linh (sa mère) et le départ tragique vers la France en 1956. Elle revit en compagnie de Linh l’arrivée au camp d’hébergement de Sainte-Livrade, l’exploitation des femmes indochinoises par les maraîchers du Lot-et-Garonne. Entre souvenirs, danse, colère et rituels traditionnels, Émilie apprend à accepter cet héritage