Harry Goldfarb est un junkie. Il passe ses journées en compagnie de sa petite amie Marion et son copain Tyrone. Ensemble, ils s’inventent un paradis artificiel. En quête d’une vie meilleure, le trio est entraîné dans une spirale infernale qui les enfonce toujours un peu plus dans l’angoisse et le désespoir. La mère d’Harry, Sara, souffre d’une autre forme d’addiction, la télévision. Juive, fantasque et veuve depuis des années, elle vit seule à Coney Island et nourrit dans le secret l’espoir de participer un jour à son émission préférée. Afin de satisfaire aux canons esthétiques de la télévision, elle s’astreint à un régime draconien. Un jour, elle le sait, elle passera de l’autre côté de l’écran.

En faisant la chronique du voyage de Mary de l’adolescence à l’âge adulte et du passage de Max de la maturité à la vieillesse, Mary et Max explore un lien qui surmonte bien plus d’aléas qu’une amitié classique. Comme Harvie Krumpet, des mêmes auteurs, Oscar du meilleur court métrage d’animation, Mary et Max est un parcours à la fois hilarant et poignant à travers l’amitié, l’autisme, la taxidermie, la psychiatrie, l’alcoolisme, l’origine des bébés, l’obésité, la cleptomanie, les différences sexuelles, la confiance, l’accouplement des chiens, les différences religieuses, l’agoraphobie et bien d’autres surprises de la vie.

Mulan est une jeune chinoise, fille de bonne famille. Quand son père malade est appelée sur le champ de bataille après l'invasion des Huns, la jeune fille refuse de le voir prendre les armes. Elle se fait alors passer pour un homme et devient une courageuse guerrière au service de sa nation.

Ellen, 20 ans, atteinte d'anorexie mentale, entreprend sous la houlette d'un médecin peu conventionnel un voyage poignant mais parfois drôle à la découverte d'elle-même.

Oliver Quick étudiant à l'université d'Oxford, se retrouve entraîné dans l'univers du charmant et aristocratique Felix Catton, qui l'invite à Saltburn, le vaste domaine de sa famille excentrique, pour un été qui restera gravé dans les mémoires.

Dans une ville miniere du Nouveau Mexique, les mineurs d'origine mexicaine se mettent en greve. Ils veulent beneficier des memes avantages que les travailleurs blancs. La participation des femmes, tout d'abord reprouvee par les hommes, s'avere vite efficace. Un film qui reunit sur son plateau plusieurs des victimes du Macchartisme. Realise en 1953, il ne put sortir qu'a la fin de l'annee 1965.

Samantha « Sam » Horton, une ancienne reine de beauté du Texas, mère de trois enfants, et massothérapeute au chômage avec des difficultés financières et la menace de forclusion sur sa maison. Son mari, Rex, un ancien joueur de football, souffre de complications au genou et ne peut pas travailler. Elle postule pour un emploi à un salon de massage dans une ville voisine et est rapidement embauchée. Cependant, elle découvre que les masseuses qui y travaillent sont en fait des prostituées au service des membres éminents de la société. À court d'argent, Sam se rend compte qu'il n'y a pas d'autres options et décide d'accepter de devenir une prostituée. Elle commence à travailler sous le nom de « Brandy », ment à son mari et sa mère afin de leur cacher la nature réelle de son travail. Sam rapporte beaucoup d'argent. Cependant, en plus de l'argent, ses clients lui donnent des bijoux de luxe et certains l'ont même demandée en mariage.

Hanna rejoint secrètement un groupe appelé The Onania Club. Ses membres, des femmes fortes et indépendantes de Los Angeles, sont excitées par la misère des autres. Hanna rencontre plus de misère qu'elle ne pourrait jamais espérer et, ce faisant, perd tout ce qui lui tient à cœur.

«Dans cette lettre d'Adieu à Ana (alias l'Anorexie), je révèle les souffrances liées à cette maladie. J'y exprime également avec sincérité mon désir profond de retrouver ma liberté et ma vitalité en relatant de manière honnête mes progrès ainsi que mes rechutes. À travers l'entremêlement de dessins et de poésie, je partage cette quête de reconstruction qui, j'espère, apportera un éclairage sur l'anorexie mentale ainsi qu'un brin d'espoir.»