Il est l'auteur du tir le plus spectaculaire de l'histoire du basket universitaire et le seul joueur à avoir participé à quatre finales consécutives, tout en aidant Duke à remporter deux championnats nationaux. Il avait tout pour lui. Pourquoi Christian Laettner a-t-il été détesté pendant si longtemps ? C'est peut-être à cause de ses disputes avec ses coéquipiers ou de son arrogance. Ce documentaire explore sa personnalité unique pour révéler l'histoire vraie de cette star du basket. Rassemblant des témoignages de Laettner et les diverses perspectives de ceux qui l'ont côtoyé, ce film se penche sur l'homme qui était considéré comme le diable du basket.
Que se passe-t-il lorsqu'on mélange "Les Affranchis" et le basket-ball universitaire ? On obtient "Playing For The Mob," l'histoire du gangster Henry Hill (interprété par Ray Liotta dans le classique de 1990 de Martin Scorsese) qui a aidé à truquer les matchs de basket-ball du Boston College lors de la saison 1978-79. Les détails de ce scandale de matchs truqués sont révélés pour la première fois devant la caméra dans les témoignages des joueurs, du FBI et de ceux qui ont eux-mêmes truqué les matchs, dont Hill, qui mourut peu de temps après cet entretien. "Playing For The Mob" se passe peut-être dans le monde apparemment doré du basket-ball universitaire, mais comme "Les Affranchis", il s'agit d'une histoire d'avidité, de trahison et de comptes à rendre. Finalement, les deux histoires partagent un seul et même message : quand autant d'argent est en jeu, on ne peut faire confiance à personne.
Pour les fans acharnés de la franchise de la NBA, comme pour la cinéaste Kat Jayme, le déménagement abrupt de l’équipe des Grizzlies de Vancouver, à Memphis en 2001 est beaucoup plus qu’un point sensible, c’est un mystère non résolu et peut-être une conspiration criminelle. Ce qui commence par une enquête de superfan sur la disparition de son équipe locale, devient une lettre d’amour à la pire franchise sportive professionnelle de l’histoire, et une exploration des racines profondes du fandom.