Laura a passé son enfance dans un orphelinat entourée d'autres enfants qu'elle aimait comme ses frères et sœurs. Adulte, elle retourne sur les lieux avec son mari et son fils de sept ans, Simon, avec l'intention de restaurer la vieille maison. La demeure réveille l'imagination de Simon, qui commence à se livrer à d'étranges jeux avec "ses amis"... Troublée, Laura se laisse alors aspirer dans l'univers de Simon, convaincue qu'un mystère longtemps refoulé est tapi dans l'orphelinat...

Avant de partir en voyage, Jack Whitman reçoit la visite de son ex-petite amie dans sa chambre d'hôtel parisienne.

Au lever du jour, Jean de Dieu rentre chez lui, blessé à la tête. Un passage de la bande son de « Johnny Guitar » le hante.

Un court-métrage qui avait tout pour devenir culte : avec un casting composé de cinéastes 4 étoiles (où l’on rencontre Denis Podalydès, Jan Kounen, Marc Caro, Albert Dupontel, Gaspar Noé et même des acteurs comme Zinedine Soualem…) et figures de ce que les critiques américains appelleront la “New French Extremity”, il pourrait presque préfigurer le Dernières séances de Laurent Achard - à la différence près que dans le court de Bréaud, c’est un spectateur cinéphile, et non le projectionniste, qui s’inspire des films qu’il voit pour goûter à son tour au meurtre façon slasher.