Ce documentaire montre l'évolution des "Sociétés Anonymes" (appelées Corporations en anglais) aux USA, reprenant leur histoire depuis leur apparition avec la Révolution industrielle, où elles étaient conçues pour répondre au bien public mais furent détournées de cet objectif par la recherche du profit.

La dette des gouvernements, des entreprises et des ménages a atteint des proportions astronomiques : Comment l'expliquer ? Comment en est-on arrivé là ? D'où vient tout cet argent ? Comment peut-il y avoir autant d'argent à prêter ? La réponse est... qu'il n'y en a pas. De nos jours l'argent est fait de dette. S'il n'y avait pas de dette, il n'y aurait pas d'argent. Si tout ceci vous laisse perplexe, rassurez-vous, très peu de gens comprennent ce système, même si nous sommes tous touchés. Ce long métrage d'animation, dynamique, pédagogique et divertissant va vous expliquer, de manière compréhensible par tous, les effets magiques et pervers du système actuel d'argent-dette. Un film indispensable pour comprendre les origines de la crise mondiale !

À travers les âges, avec leurs manigances, les hommes rusés ont fait de l'argent un outil pour parvenir à leurs vils objectifs. Avec l'apparition de l'entreprise privée, l'argent utilisé comme moyen de repousser les limites du troc a permis au tricheur d'exploiter l'honnête homme qui, pour se protéger, a fait appel à la protection du gouvernement, mais a vite découvert qu'il faisait face à deux voleurs : le courtier et le pilleur politique qui travaillaient main dans la main contre lui. Avec cette combine, le courtier a acquis le prestige de l'approbation politique accordée en vertu de la loi et l'État a obtenu un moyen douteux d'imposer des impôts aux citoyens (par le biais d'un impôt caché appelé l'inflation). C'est une alliance vicieuse, qui reste vicieuse. »

Un immeuble de banque abandonné. Un banquier d'affaires de haut rang. Un regard inquiétant dans un monde parallèle. Rainer Voss était l’un des principaux banquiers d’affaires allemands. A lui seul, il générait plus d’un million d’Euros de profit chaque jour. Aujourd’hui, dans une tour désertée du quartier financier de Francfort, il se raconte : son ascension dans les années 1980, la libéralisation à outrance, la dérégulation et les «innovations financières» qui ont pu offrir à leurs initiateurs la sensation d’être les véritables « maîtres de l’univers ».

Michael Moore relate la suppression de 30 000 emplois dans les usines General Motors dans sa ville natale, Flint dans le Michigan, et leurs conséquences sur la population.

De Joel Bakan et Jennifer Abbott, La nouvelle corporation dévoile comment la prise de contrôle de la société par les corporations est justifiée par le fait qu'elles se font passer pour des organisations qui possèdent une conscience sociale. Ce film est un appel à la justice sociale et climatique, et à des solutions transformatrices.

Film de Christophe Conte et Gaëtan Chataignier, « David Bowie, l’homme cent visages ou le fantôme d’Hérouville » mêle habilement images d’archives, entretiens avec des collaborateurs familiers de la star, et reconstitutions ou errances contemporaines dans le château où de nombreux artistes reprennent les chansons de Bowie (Lou Doillon, Alain Chamfort, Chilly Gonzales, Barbara Carlotti, Jeanne Added, Bertrand Belin, Mathieu Saïkaly, Théodore, Paul et Gabriel, Aquaserge, Modooïd…)

Ce long métrage de fiction est une chronique de la vie quotidienne. Un portrait de la dépendance de l'individu à l'égard de la société de consommation, dans la mesure où elle réduit l'humain et le dégrade par ses structures mêmes, et qui doit, selon Gilles Groulx, être contestée et transformée. Tourné dans un contexte socio-économique datant de 1969, ce film ne nous offre point d'histoire avec épisodes et intrigue, mais une série de sept séquences retraçant la vie d'un couple et sa dissolution progressive dans un univers où la séduction joue sans cesse.