Juifs et communistes, émigrés en France dans les années 1930, ils ont été les principaux acteurs de la résistance urbaine menée à Paris contre l'occupation allemande. En 1985, pour son premier long métrage documentaire, Mosco Levi Boucault recueillait les bouleversants témoignages de ces ex-"terroristes" oubliés par la France.

En février 1944, dans une cour de la prison de Fresnes, les Allemands organisent une mise en scène pour stigmatiser un groupe de résistants communistes, tous étrangers et juifs pour la plupart, arrêtés quelques semaines plus tôt. La propagande vise à discréditer ces combattants pour en faire des terroristes et des criminels, eux qui étaient parvenus à multiplier dans Paris les attaques contre l'occupant. L'affiche rouge placardée à des milliers d'exemplaires partout dans le pays va les faire entrer dans la légende.

Rencontrez les vrais aviateurs ayant inspiré Masters of the Air à travers leur récit poignant et marquant sur le 100e groupe de bombardement.

Comment était l'Allemagne lorsque son peuple est entré dans le cauchemar de la Seconde Guerre mondiale ? Le désespoir et la peur conduisent une population affamée à suivre l'appel effrayant d'un seul homme pour dominer le monde. Une véritable histoire d'horreur, un conte sinistre de violence et de tromperie, qui se déroule de 1919 à 1934. (Entièrement composé d'images d'archives restaurées et colorisées).

Ce film raconte l'histoire des V1 et V2, les armes secrètes allemandes, depuis leur conception dans les années 20 jusqu'à leur lancement sur Londres puis Anvers en 1944. Bénéficiant du travail de recherche audiovisuelle menée depuis cinq ans par une équipe d'historiens, il éclaire d'un jour nouveau les dernières années de la guerre à partir d'images pour la plupart inédites, en même temps qu'il précise le rôle de Von Braun et de ses collègues dans les programmes spatiaux américains, russes et français d'après guerre. Ce documentaire rappelle aussi le coût humain de cette aventure, les conditions terribles imposées aux déportés du Camp de Dora, et le rôle, du côté britannique, du physicien Jones. Il souligne aussi combien le rôle et l'illusion ont eu leur part dans cette histoire.