Johnny ne sait plus qui il est vraiment. En pleine dérive, il est obligé de partir loin de Manchester, sa ville natale.

Un Argentin de New York et un Espagnol de Berlin se croisent une nuit à Barcelone. Ils n’étaient pas faits pour se rencontrer et pourtant… Après une nuit torride, ce qui semblait être une rencontre éphémère entre deux inconnus devient une relation épique s’étendant sur plusieurs décennies…

Trois parties, intitulées respectivement : Royaume 1 - Enfer, Royaume 2 - Purgatoire, Royaume 3 - Paradis. « L'Enfer » est composée de diverses images de guerre, sans ordre chronologique ni historique. Les images restent muettes, accompagnées de 4 phrases et de 4 musiques. « Le purgatoire » se déroule de nos jours dans la ville de Sarajevo à l'occasion des Rencontres Européennes du Livre. Il s'agit de conférences ou de simples conversations à propos de la nécessité de la poésie, de l'image de soi et de l'autre, de la Palestine et d'Israël, etc., et qui sont le fait de personnes réelles comme de personnages imaginaires. Une visite au pont de Mostar en reconstruction symbolise l'échange entre culpabilité et pardon. « Le Paradis » montre une jeune femme qui, s'étant sacrifiée, trouve la paix sur une petite plage au bord de l'eau - laquelle est gardée par quelques Marines des USA.

À travers l'histoire d'une famille qui se fait berner par un élégant jeune homme, satire sur les rapports de classes, la naïveté de la bourgeoisie américaine libérale et les effets dévastateurs d'une imposture sur la vie d'une famille "politiquement correcte".

Dans une petite ville chinoise, une femme divorcée et son jeune frère marié partagent la même solitude. Aixiang se marie avec un homme plus âgé et la femme d’Aiguo finit par le quitter.

Moon Child va suivre trois jeunes garçons orphelins vivant de leurs vols, mais ça tourne mal et les enfants, dont Sho, âgé de 8 ans, sont sauvés par Kei, un être immortel buveur de sang et venant de perdre son mentor. Malgré ses pouvoirs, Kei est limité par le Soleil qui le brûle et ne peut donc seulement vivre la nuit ou dans l'ombre. Des années plus tard, Sho et ce dernier sont devenus inséparables et vivent de divers pillages contre d'autres gangs. Au cours d'un coup qui a mal tourné, ils rencontrent Son qui finit par rejoindre leur bande et leur présente sa sœur Yi-Che dont ils tombent tous deux amoureux. Yi-che est devenue muette dans son enfance. Après une période insouciante, un drame va obliger Kei à quitter le groupe...

2009. Michel Djerzinski, chercheur de génie spécialisé dans la biologie moléculaire, disparaît mystérieusement en Irlande. Ses dernières découvertes auraient ouvert la voie à un bouleversement majeur dans l'histoire de la génétique humaine. C’est l’occasion d’un plongeon vertigineux dans le temps où l'on découvrira son demi-frère Bruno, jouisseur torturé qui rencontrera l'amour dans un camping post soixante-huitard, Janine, la mère de Bruno et Michel, une ancienne hippie qui a toujours refusé d'élever ses enfants de manière conventionnelle, et Annabelle, dont Michel s'éprendra enfant.

"Poussières de Juillet", réalisé en 1967 par Hachemi El-Chérif.est tiré d'un poème de Kateb Yacine. "On avait fait un film sur le retour des cendres de l’Émir Abdelkader, en Algérie. C'était l'occasion de faire un film sur les ancêtres avec M'hamed Issiakhem. Il a dessiné des plaques de verres sur la base de mes textes. Ensuite on a fait collaborer des acteurs. C'était un film qui nous a coûté en tout 300 dinars, preuve qu'on pouvait faire du travail pour la télévision sans trop d'argent. Nous avons gagné deux premiers prix internationaux au festival de Belgrade. On a laissé l'original du film aux Égyptiens à Alexandrie et ils l'ont perdu. On a gardé une copie mais avec le temps je me demande ce qu'elle est devenue, parce qu'il n'y a pas même eu une projection, on dit qu'elle ça existe encore, mais je ne sais pas dans quel état. " Kateb Yacine, le 28 juillet 1986, entretien avec Arlette Casas.

Je suis une cigarette est un très court métrage basé sur un poème écrit par Élizabeth Martineau

Un moine bouddhiste incarne Bashô, le grand poète japonais, et suit les traces de son journal de voyage à travers le pays, à pied et parfois à cheval. En route il compose plusieurs de ses fameux haïkus. Un film sur la poésie, la méditation, une vision presque «zen» d’une nature inviolée, originelle, comprise comme un paradis perdu.