Le 30 avril 1945, alors que Berlin est assiégée par les Soviétiques et que ses plus proches collaborateurs l’ont trahi, Adolf Hitler se suicide dans son Führerbunker. Ce documentaire dévoile un tout autre visage de l’homme qui a plongé l’Europe dans l’horreur. Celui d'un dictateur totalement coupé de la réalité, d'un paresseux allergique du travail qui préfère se terrer dans son refuge de Berchtesgaden plutôt que de gérer son empire. Il en laisse les rênes à d'influents et fidèles hommes de main triés sur le volet. Le documentaire fait la lumière sur le destin de six d'entre eux : Hermann Göring, Heinrich Himmler, Joseph Goebbels, Albert Speer, Rudolf Hoess, Josef Mengele. Des «apôtres du mal» qui se détestent et qui, pour s’attirer les faveurs de leur Führer, vont pousser les atrocités toujours plus loin.

Découverte de l'espace, le temps, la formation de l'univers et l'apparition de la vie sur la terre.

Un adulte enfant se jette ou presque de la tour Eiffel et tombe dans les rues de New York, comme un somnambule tombe d'un mur, il cherche la rencontre avec l'impossible, filmer un absent pour connaître les secrets de la création d'une œuvre. Faire la route jusqu'à Mabou, Nouvelle-Ecosse – Robert Frank – c'est lui qu'on veut connaître – y a construit une maison en bois près d'une mer gelée qui parfois se brise en morceaux emportés par le vent. Il habite là. Et cherchant comment se faire, le film se fait. On ne sait pas de quoi il est fait. D'amour, d'admiration, d'un long travail aussi. Le résultat, un chef d'œuvre transparent qui reste ouvert à l'indéfini en route vers l'irrejoignable.

NHK a diffusé une interview des Babymetal par Marty Friedman, visitant l'endroit où était situé le Legend Corset Festival en 2012 et plus encore. L'émission montre également 5 des 6 chansons du concert spécial du groupe au Broacasting Centre NHK à Tokyo devant 300 membres de THE ONE, le 18 février 2016. Setlist: 01. Road Of Resistance / 2. Gimme Chocolate / 3. Awadama Fever (non diffusé) / 4. Megitsune / 5. Karate / 6. Ijime, Dame, Zettai

Le 24 février 1982, invité à Paris pour être décoré de la Légion d'honneur des mains de François Mitterrand, et pour présider la cérémonie des Césars, Orson Welles rencontre dans la salle de Chaillot un public essentiellement composé d'étudiants en cinéma. Un débat qui se transforme rapidement en Master Class.

Au cours de la décennie 1960-1970, Paris a connu l’une des plus grandes métamorphoses de son histoire. Le changement du paysage urbain s’est accompagné d’un changement de peuplement, mettant fin à 10 siècles de mixité sociale. La gentrification de la capitale ou si’ l’on préfère sa boboisation s’est opérée sur ce que le grand historien Louis Chevalier a appelé « Les ruines de Subure ». C’est cette ville disparue, cette métropole engloutie à l’image du légendaire royaume d’Ys que le film documentaire « Si Paname m'était conté. Paris, années 50 » restitue avec une émotion poignante à travers les images, les bruits, les chansons et les témoignages des écrivains de l’époque.