Le Pont des Broignes, est la chronique d’une petite communauté isolée, un hameau fait de cabanes rafistolées dans les marécages d’un estuaire... Elle se déroule sur une vie entière : celle de la Touille, la patronne d’une taverne... Jusqu’à la grande catastrophe.

La folie de certains gestes quotidiens. Images réelles recomposées avec des techniques d'animation.

Charlie, enfant issu d'une famille pauvre. Travaillant pour subvenir aux besoins des siens, il doit économiser chaque penny, et ne peut s'offrir les friandises dont raffolent les enfants de son âge. Pour obtenir son comptant de sucreries, il participe à un concours organisé par l'inquiétant Willy Wonka, le propriétaire de la fabrique de chocolat de la ville. Celui qui découvrira l'un des cinq tickets d'or que Wonka a caché dans les barres de chocolat de sa fabrication gagnera une vie de sucreries.

Pour la première fois le réalisateur pose sa caméra , son «subjectif», en extérieur. Il ne s'agit plus de percer l'obscurité pour y faire naître, mettre en scènes des figures anthropomorphiques aux rituels plus ou moins mystérieux, mais de partir de la lumière du monde, en l'occurrence celle d'une plage au bas d'une falaise et d'y capter les évolutions de vacanciers anonymes.

Une ode à la mélancolie des machines, dans un monde où les humains ont disparu.

Au milieu d'un jardin foisonnant, un tout petit renard rencontre une enfant intrépide qui fait pousser des plantes géantes ! Par un joyeux hasard, ils découvrent qu’ils peuvent faire pousser des objets, cela va donner des idées aux petits malins...