En pleine Guerre froide, la fille unique de Joseph Staline, Svetlana, se rend à l'ambassade américaine de New-Dehli et demande l'asile. Du sommet de l'empire soviétique à la solitude et la pauvreté de ses dernières années passées dans le Wisconsin, ce documentaire retrace le destin de cette femme résolument libre, grain de sable dans les machines étatiques des deux blocs.

Une explication exhaustive de la manière dont se déroule l'occupation militaire d'un territoire envahi et de ses conséquences, en utilisant comme exemple paradigmatique l'histoire récente d'Israël et des territoires palestiniens, la Cisjordanie et la bande de Gaza, de 1967, date de la guerre des Six Jours, à aujourd'hui ; un récit du cinéaste Avi Mograbi enrichi par les témoignages de vétérans de l'armée israélienne.

L'histoire incroyable de Bill Gaede, ingénieur argentin, programmeur… et espion de la guerre froide.

Fin 1943, après le débarquement en Italie, John Huston fut chargé de réaliser un documentaire sur l’avancée triomphale des troupes américaines sur Rome. Filmant des combats d’une rare violence, il réalisa l’un des plus bouleversants témoignages sur les horreurs de la guerre.

A la veille d'une mission pendant la guerre du Pacifique, un groupe de parachutistes de la marine japonaise composé d'un singe, un chien, un faisan et un ours, rentrent chez eux pour une brève visite avant de rejoindre leur base dans le Pacifique Sud. Dirigé par le guerrier Momotaro, l'escadron se prépare à attaquer l'ennemi sur Devil's Island...

Le 1er mars 1954, les États-Unis lancent l'opération "Castle Bravo" qui consiste à faire exploser dans l'atmosphère la première bombe à hydrogène au-dessus d'un archipel du sud du Pacifique. Sa puissance équivaut à 5 mégatonnes (millions de tonnes de TNT), celle d'Hiroshima ne représentant "que" 12 000 tonnes. Mais au moment de l'explosion, l'équipe de chercheurs qui a conçu la bombe réalise que celle-ci a dépassé leurs calculs : ce sont 15 mégatonnes qui ont en fait éclaté. Résultat : trois îles coralliennes rayées de la carte. Leurs cendres s'éparpillent dans le ciel à 30 kilomètres, avant de retomber sur 11 000 km² et de contaminer les populations des atolls voisins.