Il y a 50 ans, le grand public découvre le film "Emmanuelle", dont la jeune héroïne, interprétée par l'actrice Sylvia Kristel, explore sa sexualité librement, sans tabou ni respect des conventions. Embrassant l'évolution des moeurs des années 1970, le film, audacieux, devient l'un des plus grands succès du cinéma français et Emmanuelle, le visage de la libération sexuelle de l'époque. Aujourd'hui, c'est à travers le regard d'une femme que le personnage revient sur les écrans. Cette nouvelle Emmanuelle imaginée par la réalisatrice Audrey Diwan se lance dans une quête pour retrouver le plaisir qu'elle a perdu. Sa relecture du roman d'Emmanuelle Arsan est traversée par la question de l'omniprésence du sexe dans notre société et de la réappropriation du plaisir des femmes par elles-mêmes.

Pour satisfaire le fétichisme de son amant pour les femmes tatouées, Akane accepte de se faire recouvrir le corps de tatouages ​​élaborés par Kyogoro, un vieil artisan. Kyogoro a développé une technique spéciale, par laquelle son assistant, Harutsune, éloigne Akane de la douleur pendant que Kyogoro fait son travail. Une fois le travail terminé, Harutsune fait la découverte choquante de la façon dont Kyogoro a maîtrisé sa technique.

Marina règne sans partage sur les nuits parisiennes. Belle et vénéneuse, elle attire dans ses rets hommes et femmes, indifféremment fascinés par son sens aigu de la séduction. Habituée à décider de tout en toute circonstance, Marina tombe de haut quand Paul, son amant attitré, lui annonce qu'il la quitte pour convoler en justes noces. La jeune femme entre dans une rage non contenue, que le destin lui permet bientôt d'assouvir. Andréa, la sœur de la future mariée, lui demande en effet de bien vouloir veiller sur Angie...

À bord du vol Paris-Bangkok, Emmanuelle rappelle à Mario, un séducteur sexagénaire, leur rencontre vingt ans plus tôt. Incrédule et intrigué, Mario écoute le récit des aventures de l'énigmatique jeune femme. Et d'abord au Tibet où un vieux moine lui remit un étrange parfum : "l’essence de vie".

Le milliardaire M. Sam (Shôji Mori) est un maniaque du cinéma expérimental qui rêve de réaliser un véritable film sado-maso privé. Il organise une réunion de production avec l'auteur de romans sado-maso Eden et le réalisateur de films pornographiques au chômage Justin (Masahiko Miyabi), qui engage l'actrice Sally (Shô Nishino), une pauvre étudiante universitaire qui a désespérément besoin d'argent. Le tournage a lieu dans le sous-sol de la maison de Sam. Sally refuse de coopérer après avoir pris connaissance des détails du film, mais elle est attachée nue par eux et enfermée dans une cage dans la maison de Sam avec l'autre acteur nu. Luttant pour sa survie, Sally doit oublier sa dignité et se montrer sauvage pour jouer le S&M à l'extrême. Le vrai film S&M est en route.

Marie est envoutée par le charme de sa patronne Judith. En froid avec son époux William, Marie propose à la jeune femme de l'héberger pour quelques jours. Cette dernière succombe rapidement aux charmes de son hôte et une sensuelle relation s'installe entre les deux femmes. Jusqu'au jour où William fait son retour, bien décidé à récupérer sa femme..

Parce qu'une jeune fille vient d'etre assassinée, les inspecteurs Brichot et Corentin sont mobilisés. Ils découvrent que la victime, nue sur son manteau, était droguée. Cette drogue, la Tropamyne, exacerbe notamment les facultés sexuelles.