Bienvenue dans le monde féerique de Tippie. Une petite fille de 6 ans vit en Namibie avec ses parents chasseurs d'images. Les animaux sauvages sont devenus ses plus fidèles compagnons, sans oublier les Bushmen, une tribu dont l'histoire semble remonter aux origines de l'homme.

Aux îles Féroé, une équipe de biologistes étudie ces plantes maritimes dans le but d'améliorer l'élevage du saumon, et permettre d'éviter le recours aux médicaments ou aux produits chimiques. A Munich, d'autres se consacrent à une algue minuscule, dont la forte teneur en huile pourrait à terme remplacer le pétrole. La fibre de carbone que l'on en obtient tient la dragée haute aux énergies fossiles. En France, on cherche à assainir l'air à l'aide d'une tour aux allures de colonne Morris. Cette dernière absorbe une tonne de CO₂ par an, soit la performance de plusieurs dizaines d'arbres, et la transforme en oxygène.

Sur une musique de Philip Glass se succèdent des images de nature, de vies sociales, d'individus, de paysages somptueux arrachés à la paix de la Création par des bulldozers, des brouillards de pollution...

Ce film documentaire montre plusieurs paysages à travers les océans, par des techniques modernes pour des prises de vues spectaculaires.

Unis dans leur amour de l'apnée libre, une championne de la discipline et un héroïque plongeur expert en sécurité tentent de réaliser un exploit au mépris du danger.

La survie dans les zones désertiques exige un haut degré d'adaptation des animaux et des plantes. Pendant la journée, la chaleur est insupportable tandis que la nuit frigorifie tout. Après plusieurs semaines de sécheresse suivies de pluies tropicales, les masses d'eau du désert offrent quelques heures de répit à la vie. Le film montre les créatures de la région désertique au début de la saison des pluies, avec une mise en scène efficace des évènements. Tout d'abord, le narrateur explique les origines et les caractéristiques de la surface du désert. Puis, peu à peu, avec le réveil de la flore et de faune, une vie nouvelle profite cette l'apparition de la pluie.

Originaires de l'Afrique, les lémuriens, qui existaient à l'époque des dinosaures, sont arrivés sur l'île de Madagascar en tant que naufragés il y a plusieurs millions d'années. Au début, ils étaient la seule espèce animale à peupler cette Terre, mais bientôt, les humains et d'autres mammifères ont envahi leur territoire et ont ainsi menacé leur survie. La scientifique Patricia C. Wright a consacré sa vie à sauver ces bêtes. Elle a construit un parc national au coeur même de l'île afin que ces bestioles étranges et adorables aient une chance de survivre face aux nombreux incendies que provoquent volontairement les humains pour en faire des terres cultivables.

Le Dr Neil Hammerschlag et son équipe de chercheurs se lancent dans une quête pour en savoir plus sur ce mystérieux requin

À l'origine, en 2014, Laurent Ballesta n'avait qu'un seul objectif précis : percer le mystère mérous. Comprendre les enjeux de leur reproduction collective. Mais bien que focalisé sur l'étude des mérous, la vraie surprise vient des requins. Jamais auparavant, l'équipe n'avait été confrontée à une telle densité de requins gris de récif. Les plongeurs se prirent au jeu de les compter. Méthodiquement, ils répétèrent l'opération à de nombreuses reprises pour parvenir au chiffre impressionnant de 700 requins gris. Chaque année, l'équipe est revenue à la passe sud de Fakarava en Polynésie Française. Jusqu'en 2019, pour la quatrième expédition, « Gombessa 4 » est la synthèse des protocoles scientifiques précis et uniques. La mission a permis de démontrer que les chasses des requins ne sont pas anarchiques mais reposent en partie sur une organisation sociale au sein de la horde, sur les traces des 700 requins gris de pour « 700 requins dans la nuit (Gombessa 4, la genèse) ».