Le 22 juillet 2018, l'alpiniste polonais, Andrzej Bargiel, chausse ses skis à une altitude de 8 611 m pour entrer dans l'histoire. Suivez son l'expédition de la Pologne au Pakistan, alors qu'il descend le K2 à ski.

Ce documentaire choquant relate comment un vagabond insouciant devenu populaire en un instant est passé du sommet au creux de la vague pour finalement se retrouver en prison.

Au début de l'année 1942, peu après l'entrée en guerre des États-Unis, la marine allemande a envoyé ses sous-marins patrouiller au large des côtes atlantiques non protégées de l'Amérique. Pendant 6 mois, les U-boots allemands ont dominé les mers, coulant plus de bateaux et tuant plus d'Américains que les Japonais durant l'attaque de Pearl Harbor.

Les pays scandinaves figurent toujours en tête du rapport sur le bonheur dans le monde (World Happiness Report), publié chaque année par l'Onu. Au cours des 100 dernières années, la Scandinavie a réussi à créer une société fondée sur la confiance, la solidarité, la paix, la tolérance et la démocratie. Quel est le secret du bonheur scandinave ? Enquête auprès des Danois et de leur diaspora.

Au large du golfe du Mexique, les îles des Grandes Antilles abritent de petits lézards colorés, les anolis, qui font le bonheur des touristes et des chercheurs. Ces sauriens permettent en effet à ces derniers de déterminer comment différentes espèces, situées sur différentes îles, évoluent de façon presque identique. Ce phénomène, appelé «convergence», est au coeur des travaux du biologiste Jonathan Losos.

La théorie de l'évolution, qui a révolutionné les lois de la biologie jusqu'à nos jours, germe dans la tête du jeune Charles Darwin pendant un voyage de près de cinq années autour du monde. Lorsqu'il parvient à convaincre son père de le laisser embarquer à bord du Beagle, le 26 Décembre 1831, Charles Darwin, âgé de 22 ans, sort d'études de théologie destinées à le préparer à une charge de pasteur. Il entend alors vérifier l'origine providentielle de la création. Au fil des mois et des pays traversés, il réalise que les créatures vivantes et l'homme lui-même ne pouvaient être que le fruit d'un processus d'adaptation de plusieurs millions d'années. Du Chili aux Galàpagos, en passant par la Terre de feu et l'Australie, il accumule le matériau qui lui permettra, après quelques 23 ans de valse hésitation, de publier l'Origine des Espèces, son livre majeur, qui fut, selon son auteur lui-même, aussi douloureux à coucher sur le papier que le serait l'aveu d'un crime.

Si Galilée a retiré la Terre du centre de l'univers, Darwin, lui, a retiré l'homme du centre de la création, lui conférant de fait des ancêtres communs avec les singes. Deux révolutions scientifiques, deux déstabilisations du dogme religieux. Au soir de son existence, Charles Darwin (incarné par Jean-Pierre Marielle) nous raconte sa vie à la première personne. Le vieil homme retrace le cheminement qui l'a conduit à la publication de l'origine des espèces. Dans cet ouvrage aux idées (r)évolutionnaires, l'homme expose une théorie que sa famille, ses amis et toute la bourgeoisie anglaise de l'époque interdisaient : l'évolution se fait au gré du hasard, ce n'est donc pas Dieu qui a créé l'homme. Trois spécialistes, Pascal Picq, paléoanthropologue au Collège de France ; Pierre-Henri Gouyon, naturaliste au Muséum d'histoire naturelle de Paris et Thierry Hoquet, philosophe à l'université de Nanterre, décryptent la théorie de l'évolution de Darwin pour la rendre accessible à tous.