Fierté des victoires napoléoniennes, l’Arc de Triomphe, dont la première pierre fut posée en 1806 au sommet des Champs-Élysées, est avec la tour Eiffel l’un des monuments les plus visités de la capitale française. Voulu par un empereur, inauguré sous le règne d’un roi (Louis-Philippe) et sanctuarisé par la République, ce temple patriotique polarise les passions de toute une nation. Un portrait historique avant « emballage », qui fourmille d’anecdotes et de détails insoupçonnés.

Le 5 mai 1821. Napoléon Bonaparte, empereur déchu et exilé sur l'île de Sainte-Hélène, est sur le point de rendre son dernier souffle. Fils d'une famille corse, il a frôlé la mort à plusieurs reprises depuis que, jeune capitaine de l'armée révolutionnaire, il a pris Toulon aux royalistes en 1793.

Au début du XIXe siècle, le Tyrol, possession autrichienne, n’est pas épargné par les remous politiques qui agitent l’Europe. Après la bataille d’Austerlitz, en 1805, les Habsbourg sont sommés de céder le comté aux alliés bavarois de Napoléon, déterminés à mener une vaste politique de centralisation autour de Munich. Mal accueillie par les Tyroliens, cette mesure pousse l’archiduc Jean-Baptiste d’Autriche à projeter la reconquête de la province, en encourageant les paysans à se révolter. Ainsi, en 1809, l’aubergiste Andreas Hofer, capitaine de milice connu pour sa bravoure et sa haine des Français, est invité à Vienne afin de préparer l’insurrection. Suite à la victoire, il devient régent du Tyrol, mais abandonné par les Habsbourg, il finira exécuté par les Français. Ce documentaire-fiction retrace le destin méconnu d'un simple aubergiste propulsé régent, héros populaire toujours vénéré de nos jours, qui s’est retrouvé malgré lui au cœur d’un dangereux jeu politique.

Soucieux d’«ancrer le personnage dans son histoire», David Grubin a consacré pas moins de trois années de travail à son documentaire sur Bonaparte, consulté les plus fins analystes de l’ère napoléonienne, comme Jean Tulard, et investi au total plus de trois millions d’euros. Il a, par ailleurs, filmé et scanné 2000 toiles et dessins d’artistes tels que David, Ingres et Goya, dont 250 ont finalement été intégrés au montage. Surtout, il n’a pas hésité à reconstituer les plus grandes batailles livrées par l’Empereur, ni à solliciter les plus grands spécialistes de l’armée napoléonienne pour garantir le maximum de rigueur et d’authenticité à ces séquences.

Bill et Ted sont des cancres au collège. Mais avec l'aide de Rufus, ils ont mis au point une machine à voyager dans le temps sous la forme d'une cabine téléphonique. Ils naviguent ainsi dans l'histoire et le futur à la rencontre d'embûches et aventures diverses. Mais toujours ils arrivent à survivre grâce leur talent d'explorateurs.

Bugs prend un mauvais arrêt de l'autoroute et des tunnels hollywoodiens dans le quartier général de Napoléon Bonaparte.

Tour à tour, Charles Louis Schulmeister (1770-1853) a été contrebandier, a soutenu la Révolution française, puis est devenu chef de la police et espion favori de Napoléon. Portrait.

Cet épisode retrace la grande épopée de Napoléon Ier, empereur des Français. De l'Arc de Triomphe, qui célèbre sa plus grande victoire, au dôme des Invalides, devant le tombeau de l'empereur, Stéphane Bern conte l'histoire de ce jeune Corse ambitieux, décidé à monter jusqu'au sommet du pouvoir. D'Ajaccio à Lodi, de Milan à Venise, du col du grand Saint-Bernard à Austerlitz, Waterloo et l'île d'Elbe, nous suivront toutes les routes de l'empereur. Quel est le secret de ce militaire hors-pair, qui vole de victoire en victoire ? De nombreux intervenants tenteront d'apporter des réponses.

En quittant Paris en 1940, Hitler donne l'ordre de piller les Invalides : les trophées de guerre de Napoléon doivent être transférées à Berlin et orner le grandiose musée qu'Hitler va construire au sein de sa nouvelle Germania. Mais qu'est devenu le Trésor de guerre de Napoléon ?