Partez à la rencontre de Nicholas Winton, véritable héros d'avant-guerre. Jamais considéré comme tel, cet homme a pourtant sauvé 669 enfants à la veille de la Seconde Guerre mondiale. Dans la capitale tchécoslovaque, alors qu´il se préparait pour des vacances au ski, le jeune Nicholas Winton va organiser une extraordinaire opération de sauvetage d'enfants juifs menacés par les nazis.

Au printemps 1944, le témoignage de deux évadés juifs sur l’extermination en cours à Auschwitz parvient aux Alliés. Ce film retrace la trajectoire du document et les débats, persistants, suscités par le projet de bombardement du camp.

Ce film raconte une histoire extraordinaire, celle d’Ela Weissberger, une des dernières rescapées du camp de concentration de Terezin où elle se retrouva de l'âge de onze à quinze ans. Dans ce camp, un opéra va être joué. Ela va tenir un des rôles principaux, le chat, face à la caricature d’Hitler surnommé Brundibár. À travers cet opéra, Ela et les autres enfants se moquaient ouvertement d'Hitler sur scène. Impensable ? Pourtant ce fut le cas. À près de 88 ans, Ela raconte cette histoire surprenante à hauteur d’enfant. Elle revient sur le passé et explique comment elle et les autres enfants ont affronté l’horreur, dans un lieu de mort et de mensonges où l’on voulait faire croire grâce à un film de propagande pour une visite de la Croix-Rouge que Terezin, c’était " Le Paradis des Juifs ". Cette histoire doit être connue car elle est universelle et fait revivre, comme Ela l'a toujours souhaité, tous les enfants disparus.

Ce film relate le cas de Jordan River Anderson, un enfant autochtone atteint d'une grave maladie musculaire, mort en 2005 sans avoir pu sortir de l'hôpital, faute d'une entente entre les gouvernements fédéral et manitobain.

Quelques mois avant la Seconde Guerre mondiale, une extraordinaire opération de sauvetage a arraché 10 000 enfants et adolescents juifs au régime nazi. Rapatriés en Grande-Bretagne pour être adoptés, ils durent tisser de nouveaux liens familiaux, supporter les bombardements pour certains, aller libérer leurs propres parents restés en Allemagne. Ils ont tous d'inoubliables histoires à raconter dans ce documentaire.

Après les rafles de juillet en zone occupée, le gouvernement français a offert aux allemands de leur livrer 10 000 Juifs raflés en zone libre. Tous les préfets de France ont livré leur quota à l'exception du préfet de Corse. Sur les 10 000 Juifs raflés durant cette période, 270 reviendront des camps d'Auschwitz et de Blechhammer.

En septembre 1943, soixante-dix prisonniers juifs du camp de transit de Drancy décident de creuser un tunnel afin de s’évader. Pendant près de deux mois, ils se relaient jour et nuit pour piocher. Mais à quelques mètres du but, les SS découvrent leur stratagème. Quatorze d’entre eux sont immédiatement démasqués. Arrêtés puis torturés, ils sont déportés vers les camps de la mort. Peu découragés par leur précédent échec, ils tentent de s’échapper du train les conduisant à Auschwitz…

Ne voyant pas revenir les juifs qu’ils avaient vu se faire rafler les français se sont-ils posés la question de ce qu’ils étaient devenus? Les mieux informés ont été confrontés à des nouvelles alarmantes parlant d’assassinats en masse. Mais qualifiées de rumeurs extravagantes par la désinformation de l’occupant et de ses collaborateurs, qu’en ont-ils fait? Ces interrogations, qui valent pour tous les citoyens français, le gouvernement de Vichy ou l’Église, sont particulièrement adressées aux cadres de la France Libre, aux réseaux de la résistance français et aux Israélites de France.

Fondée en 1912 à Saint-Pétersbourg par des médecins juifs et réfugiée à Paris en 1933, l'Œuvre de secours aux enfants (OSE) a très vite mis en œuvre une véritable opération de sauvetage pendant la Seconde Guerre mondiale.