À Hong Kong, un tueur à gages désillusionné s'apprête à remplir son dernier contrat, mais il doit d'abord surmonter l'affection de sa partenaire, qu'il voit rarement. Dans une errance nocturne sordide et surréaliste, il croise le chemin d'une fille excentrique et d'un muet qui essaie sans arrêt d'attirer l'attention sur lui.
Pour s'extraire des angoisses d'une famille stressée et divisée des années 1990, David aime s'évader en regardant la télévision et plus particulièrement « Pleasantville », série en noir et blanc datant des années cinquante. Jennifer, sa sœur jumelle, est tout l'opposé de David : elle vit au jour le jour en parfaite harmonie avec le monde moderne. Jusqu'à ce que, par un étrange phénomène, Jennifer et David se retrouvent parachutés à « Pleasantville ». Désormais intégrés au casting, ils vont parasiter la série au point de changer la vie bien réglée des protagonistes.
Aux États-Unis, l'armée a mis au point des caissons d'hibernation permettant de conserver dans ses meilleurs soldats pour les réveiller en cas de conflits. Le Pentagone demande un test pour s'assurer de la fiabilité. Deux cobayes choisis pour leur Q.I moyen et sans aucune famille. Un homme, Joe Bowers qui n'a aucune ambition. Ses compétences professionnelles se résument à regarder la télévision toute la journée, assis sur une chaise d'un hangar d'archivage de l'armée. La femme, Rita, une prostituée. L'officier Collins, responsable du projet s'égare et développe un trafic de prostituées avec Upgrayedd, le mac' de Rita. Le scandale éclate, le projet est arrêté, les deux caissons sont remisés et oubliés dans un hangar militaire. 500 ans plus tard, le caisson de Joe est accidentellement ouvert, il découvre le résultat de la culture américaine : des débiles gavés de marketing qui ne savent plus rien faire…
C'est l'été. Marc emmène sa famille au bord de la Méditerranée dans la maison où il passait ses vacances quand il était adolescent. Béatrix, son épouse, doit partager son temps entre sa famille et son amant exigeant, venu la rejoindre.Leur fille Laura, 19 ans, attend avec impatience l'arrivée de son petit copain motard qui l'emmènera vers d'autres rivages. Leur fils Charly reçoit Martin, son meilleur ami, dont Béatrix et Marc ne tardent pas à comprendre qu'il est homosexuel. Ils en tirent un peu rapidement des conclusions concernant les préférences sexuelles de leur fils...
Afin de ne pas déshonorer la lignée des Stifler, Erik, le cousin de la famille refuse d'arriver à la fac en étant toujours puceau. Afin de vaincre encore mieux sa timidité, il accepte avec des amis de participer au "kilomètre à poil" (le marathon nu). Le principe consiste à courir nu sur 1 mile (1,6 km) pour se prouver de quoi on est capable...
L’apocalypse est imminente. Deux amis marchent dans la ville et discutent de l’amour non partagé, de leurs difficultés réciproques, de leurs désirs de sexe et de la recherche de quelqu’un pour l’assouvir… Mais au fil que les heures passent, la vraie nature de leur relation apparaît alors, un lien bien plus fort qu’une simple histoire d’amitié…
Trois ans après le massacre de sa famille par un dangereux psychopathe, Donna a enfin repris une existence normale et se prépare à vivre la soirée la plus importante de l'année : le bal de promo du lycée. Ce qu'elle ignore, c'est que Richard Fenton, le tueur, s'est échappé de l'asile pour la retrouver...Le détective Winn se lance à sa poursuite pour éviter le pire, mais Fenton a de l'avance. Alors que la fête bat son plein, le tueur passe à l'attaque...
Andreas et Alessandro sont deux amis plus ou moins du même âge qui se connaissent depuis l'enfance.
Un film à sketchs sur les joies et les situations cocasses liées au sexe à l'adolescence.
« Si la masturbation c’est faire l’amour à quelqu’un que l’on aime, n’hésitons pas à nous aimer ! » La formule est de Woody Allen, placée en exergue de ce film jubilatoire, véritable exploration d’un plaisir féminin intime, celui de la masturbation. Un sujet qui dérange, sans doute. Et pourtant, le sexe est partout dans les médias, on en parle de plus en plus facilement mais, lorsqu’il s’agit du plaisir féminin, la vérité peine à faire surface dans le flot des théories farfelues. Ni tabou ni fausse pudeur dans ces confidences et ces analyses, menées dans l’humour et la légèreté.