Basé sur des événements réels, le film dévoile d’anciennes hypothèses sur le dernier duel judiciaire connu en France - également nommé « Jugement de Dieu » - entre Jean de Carrouges et Jacques Le Gris, deux amis devenus au fil du temps des rivaux acharnés. Carrouges est un chevalier respecté, connu pour sa bravoure et son habileté sur le champ de bataille. Le Gris est un écuyer normand dont l'intelligence et l'éloquence font de lui l'un des nobles les plus admirés de la cour. Lorsque Marguerite, la femme de Carrouges, est violemment agressée par Le Gris - une accusation que ce dernier récuse - elle refuse de garder le silence, n’hésitant pas à dénoncer son agresseur et à s’imposer dans un acte de bravoure et de défi qui met sa vie en danger. L'épreuve de combat qui s'ensuit - un éprouvant duel à mort - place la destinée de chacun d’eux entre les mains de Dieu.

Brenton Butler, un adolescent noir âgé d'une quinzaine d'années, est accusé du meurtre d'une touriste blanche en mai 2000 à Jacksonville, en Floride. Ses avocats Patrick McGuiness et Ann Finnell vont se battre contre les méthodes quelque peu discutables de la police locale.

Jojo Braconnier ne peut plus supporter sa femme alcoolique, mauvaise et littéralement invivable. Il découvre à la télévision un reportage sur Maître Jacquard, un avocat brillant qui vient d'obtenir son vingt-cinquième acquittement. Jojo le rencontre et lui avoue le meurtre de sa femme, un crime qu'il n'a pas commis. De façon très adroite, il obtient des explications de l'avocat sur la façon dont il aurait dû agir pour obtenir les circonstances atténuantes, voire même l'acquittement. De retour chez lui, Jojo suit à la lettre les « recommandations » de Maître Jacquard et tue son épouse.

Une jeune Chinoise travaillant dans la cuisine d'un club de danse de Londres a la chance de devenir l'actrice principale du club, ce qui mène à une trahison et au meutre.

La Llorona pleure ceux qui sont morts durant le génocide des indiens mayas. Le général responsable du massacre est acquitté. Il reste hanté par la Llorona. Serait-ce Alma, la nouvelle domestique ? Est-elle venue punir celui que la justice n’a pas condamné ?

Un procureur fait sortir de prison et met à l'abri dans un hôtel une femme, qu'il essaye de convaincre de témoigner contre un gangster qu'elle a connu jadis. Elle est sous la sous la surveillance d'un agent, dont elle s'éprend bientôt. Cependant, le danger règne : la dernière personne à avoir accepté de témoigné a été retrouvé assassinée...

Dans un tribunal installé à Varsovie, un officier du Reich, Wilhelm Grimm, est accusé de meurtres et d'exactions. Sont convoqués, comme témoins à charge : un prêtre catholique, le frère de l'accusé et son ex-épouse, l'institutrice Marja Pacierkowski. Leurs dépositions personnelles, inscrites dans l'histoire, permettent de mieux comprendre, mais non d'excuser, l'itinéraire particulier de Wilhelm Grimm. À l'issue du procès, le responsable nazi plaide non coupable et clame : « Nous nous relèverons toujours »...

Un homme qui a une mule parler obtient un emploi dans un journal, et les deux se mélangent dans un procès assassiner.

Le 6 septembre 1948, en Martinique, dans un climat de grève générale, Guy de Fabrique, blanc créole, gérant d'une plantation sucrière de la commune de Basse-Pointe, est assassiné de trente-six coups de coutelas et retrouvé mort dans un champs de cannes. Après des semaines de chasse à l'homme, seize ouvriers agricoles noirs syndicalistes sont arrêtés. Ils seront maintenus en détention préventive pendant trois ans. En 1951 se tient leur procès, à Bordeaux, ancien port négrier. Bénéficiant de nombreux soutiens, les 16 de Basse-Pointe seront finalement acquittés mais le meurtre ne sera jamais élucidé. Soixante ans après, la réalisatrice martiniquaise Camille Mauduech s'emploie à reconstituer cette affaire qui résonne toujours dans la conscience martiniquaise, et le "premier procès du colonialisme français aux Antilles".