Illustre citoyen de Nyon, Jacques Muyal a voué sa vie entière à une passion dévorante: le jazz. Tout commence à Tanger où, adolescent, il anime une émission de radio influente qui présente à un auditoire international l'immense richesse des musiciens de jazz et leurs extraordinaires talents. Jacques ne sait pas encore que la musique l'accompagnera toute sa vie et deviendra sa mission. Toute son existence, il s'investira sans relâche dans la promotion de la musique et des artistes.
Au cœur de Los Angeles, une actrice en devenir prénommée Mia sert des cafés entre deux auditions. De son côté, Sebastian, passionné de jazz, joue du piano dans des clubs miteux pour assurer sa subsistance. Tous deux sont bien loin de la vie rêvée à laquelle ils aspirent… Le destin va réunir ces doux rêveurs, mais leur coup de foudre résistera-t-il aux tentations, aux déceptions, et à la vie trépidante d’Hollywood ?
Ce disque impressionnant des performances live de Sade en 1993 nous rappelle à quel point son son distinctif allie une pop langoureusement émotionnelle à un cocktail jazz léger mais épanouissant musicalement. Aussi fine que soit la voix, nous ne pouvons jamais oublier que le groupe d'accompagnement de Sade sont des accompagnateurs plutôt que de simples accompagnateurs, et dans plusieurs des 18 numéros ici, nous obtenons des solos d'une véritable virtuosité. La sélection de chansons comprend de nombreux succès de Sade - "Cherry Pie", "Smooth Operator", "Your Love Is King" - et quelques chansons moins connues des albums, telles que "Red Eye" et "Jezebel. " : 01. The Sweetest Taboo 02. Keep Looking 03. Your Love Is King 04. Love Is Stronger Than Pride 05. Smooth Operator 06. Red Eye 07. Haunt Me 08. Like a Tattoo 09. Kiss of Life 10. Nothing Can Come Between Us 11. Cherry Pie 12. Pearls 13. No Ordinary Love 14. Is It a Crime? 15. Cherish the Day 16. Paradise 17. Jezebel
Les hiboux sont heureux avec leurs trois enfants musiciens classique, mais consternés avec leur quatrième, qui n'arrête pas de chanter du jazz. Alors ils l'écartent. Celui-ci va à l'émission de radio de Jack Bunny (s'affichant lui-même comme Eddie le Piaf), et la famille est réunie.
John Wakefield, surnommé 'Ghost', dirige un orchestre de jazz et vagabonde de club en club afin de dénicher des contrats qui ne se révèlent que rarement gratifiants. Son seul succès est «La Ballade des sans-espoir», un blues qu'il joue à qui veut l'entendre. Dans un bar, il se lie avec Jess, une chanteuse. Mais leur histoire ne dure pas…
Au collège Katnip, nous voyons une salle remplie de chats qui suivent un cours de Swingologie. Tout le monde se balance sauf Johnny, qui n'y arrive pas et doit s'asseoir dans le fauteuil de cancre. Miss Kitty Bright lui dit de regarder vers le haut quand il apprend à se balancer. Enfin, à l'écoute de la pendule dans la nuit, Johnny trouve le rythme. Il se précipite à l'endroit où tout le monde joue et chante "Easy As Rollin" extrait d'un morceau de Kitty Bright. Elle le rejoint; il saisit une trompette lors d'une pause instrumentale, avec le groupe au complet. Ils s'accordent tous les deux et elle le couvre de baisers.
Suite de l’épopée Magma au Triton, cette troisième semaine annonce la couleur avec Köhntarkösz, pièce maîtresse composée en 1973 et tournant décisif dans l’œuvre de Christian Vander. Le répertoire nous mène jusqu’en 1979 avec des extraits de l’album ATTAHK, interprétés ici magistralement par l’équipe de base du groupe actuel et le troisième invité de marque, Benoît Widemann, qui joue toujours de son Mini-Moog avec autant de brio et de musicalité. MAGMA n’a jamais cessé d’innover, de défricher. MAGMA reste toujours MAGMA, puissant et viscéral, lyrique et orchestral, unique !
Avec la sortie de Masada Live at Tonic 1999, Zorn et le réalisateur Antonio Ferrera visent à remédier à cela en sortant un set particulièrement chaud d'une nuit particulièrement chaude dans l'un des principaux terrains de jeu de Zorn, Tonic à New York. L'un des attraits de Tonic est sa petite taille. L'amplification est complètement inutile, et bien qu'il n'y ait pas de détails techniques répertoriés sur le DVD astucieusement emballé, le soupçon est qu'il s'agissait d'un enregistrement très simple - un certain nombre de micros de salle stratégiquement placés au-dessus de la scène et trois caméras à partir desquelles Ferrera capture comme autant que possible de l'énergie vivante qu'est Massada.