Venu des catacombes grecques de l’Europe, un murmure traverse le continent dévasté : « Ne vivons plus comme des esclaves » (prononcer « Na mi zisoumé san douli » en grec). Sur les murs des villes et sur les rochers des campagnes, sur les panneaux publicitaires vides ou détournés, dans les journaux alternatifs et sur les radios rebelles, dans les lieux d’occupation et d’autogestion qui se multiplient, tel est le slogan que la résistance grecque diffuse, jour après jour, et nous invite à reprendre en chœur sur les mélodies de ce film à ses côtés. Un grand bol d’air frais, d’enthousiasme et d’utopies en marche, venu de la mer Égée.

En suivant la vente à Paris de Big John, le plus grand tricératops du monde, ce documentaire raconte le business des fossiles de dinosaures, une incroyable spéculation sous le marteau et une véritable ruée vers l'os.

À une époque où les inégalités sociales entre les riches et les pauvres n'ont jamais été aussi prononcées, l'évasion fiscale est pointée du doigt. Plusieurs experts parlent de cette réalité d'ordre mondial dont la pierre d'assise se trouve dans le quartier financier de Londres. Depuis le démantèlement de l'État-providence au courant des années 80, un flou juridique permet à des entreprises de s'enrichir en payant peu ou pas d'impôts. Une tendance qui s'est accentuée avec l'avènement de l'internet et qui menace la démocratie. Quelques citoyens proposent toutes des pistes de solutions pour contrer ce phénomène avant qu'il ne soit trop tard.

Ce documentaire est intégralement composé d'images d'archives des journaux télévisés des années 1980, et d'images officielles fournies par l'administration de Ronald Reagan, cet ancien acteur interprétant le rôle de sa vie : celui de président des États-Unis. Décortiquant avec soin le spectacle d'une diplomatie globale basée sur l'équilibre des superpuissances, le film suit Ronald Reagan dans la rivalité qui l'oppose au charismatique leader soviétique Mikhail Gorbachev, montrant de quelle manière le « communiquant-en-chef » américain réussit à utiliser les médias pour déjouer la méfiance soviétique, les objections nombreuses des journalistes et la menace imminente d'une Troisième Guerre mondiale.

Eugénie, jeune comédienne, a décidé de relever un défi inédit : vivre uniquement grâce à l’économie de partage. Pendant 3 mois, sans revenu et seulement avec ce qu’elle possède et ce qu’elle a à offrir, elle va devoir travailler, penser, manger, se déplacer, se divertir en mode collaboratif. Cette immersion est l’occasion pour elle de partir à la découverte du monde et des acteurs qui gravitent autour de l’économie collaborative. Entre troc et partage, bobos et marginaux, tradition et ubérisation, Eugénie peint un portrait de ce qui sera peut-être l’économie de demain.

Les dessous des révolutions colorées Le documentaire se focalise sur les mouvements de jeunes qui ont renversé des gouvernements dans des pays comme la Géorgie, l'Ukraine, la Serbie, le Kirghizstan et autres anciens pays socialistes de l'Europe de l'Est, il montre comment, dans les endroits où les partis politiques étaient discrédités, des mouvements estudiantins financés par des organisations usaméricaines comme la NED, l’USAID, le Fonds National pour la Démocratie, l'Institut Républicain International, l'Institut Démocrate International, Freedom House, etc., ont reçu l’aide qui a permis de renverser leurs gouvernements.

Depuis 40 ans, tous les gouvernements français ont présenté un budget en déficit. Depuis 40 ans, la dette française augmente, inexorablement. Comment en sommes-nous arrivés là ? Est-ce vraiment si grave? La France aurait-t‐elle une culture de la dette ? Retour sur l’histoire de la dette de la France avec les témoignages inédits de ceux qui ont été en charge des finances du pays depuis 40 ans (Valéry Giscard d’Estaing, Michel Rocard, Alain Juppé, Edith Cresson, Edouard Balladur, François Fillon, Jean‐Claude Trichet, Pascal Lamy…) et de plusieurs économistes aux avis bien tranchés (Paul Krugman -Prix Nobel , Michel Aglietta, Robert Boyer, Henri Sterdyniak).

"On liquide et on s’en va". Cette fois, il s’agit de Metaleurop, la plus grande fonderie d’Europe fondée en 1894 et située dans le Nord-Pas-de-Calais, une région déjà fortement touchée pas les restructurations. "Germinal 2003" ne raconte pas une énième fermeture d’entreprise. Ce film s’intéresse à ce qu’on appelle aujourd’hui "les dommages collatéraux".