La vie d'un cabaret et l'histoire d'amour entre une des chanteuses et un jeune étudiant dans le Berlin des années trente, secoué par la montée du nazisme...
Jeune et naïf, Claude Bukowski arrive à New York pour se rendre au bureau de recrutement de l'armée. Mais en chemin, il se retrouve au milieu d'un happening de hippies dans Central Park et tombe immédiatement amoureux de la belle Sheila. Berger, le leader pacifiste des hippies, décide de prendre Claude sous son aile et l'encourage à braver tous les obstacles pour qu'il déclare sa flamme à la jeune fille. Pour Claude, c'est le début d'une aventure qui le conduira de la prison à l'armée, en passant par le lac de Central Park. Mais Berger, dans un ultime effort pour empêcher Claude de participer à la guerre du Vietnam, provoquera, sans le savoir, un retournement de situation aux conséquences dramatiques.
Un siècle après la publication de Orlando : une biographie de Virginia Woolf, Paul B. Preciado, philosophe et écrivain adresse une lettre à l’écrivaine anglaise pour lui dire que son personnage est devenu réalité : le monde est en train de devenir Orlandesque. Preciado appelle un casting dans l’espace public et sur les réseaux sociaux : « Qui sont les Orlandos contemporains ». A travers un voyage poétique, une traversée politique, le film brosse le portrait d’un monde en mutation.
Dans les années 1960, le cinéaste suédois Ingmar Bergman (1918-2007) a construit une maison sur l'île isolée de Fårö, sur la mer Baltique, a quitté Stockholm et est allé y vivre. A sa mort, la maison a été conservée. Un groupe très spécial de cinéphiles du monde entier se rend à Fårö à la recherche du génie et de son héritage. (Version abrégée de « Bergmans video », 2012).
L'été quand on a 15 ans il n'y a rien à faire si ce n'est regarder le plafond. Elles sont trois : Marie, Anne, Floriane. Dans le secret des vestiaires, leurs destins se croisent et le désir surgit. Si les premières fois sont inoubliables c'est parce qu'elles n'ont pas de lois.
Dans un foyer, une jeune femme, absente du champ, interroge quatre jeunes adolescents sans que nous n’en connaissions le motif. Question après question, les réponses sont soit absentes, soit suivies d’un “je ne sais pas” ou d’un hochement de tête évasif. Rapidement, l’intrigue se propulse dans un passé proche, le nœud du film donne des explications à la première scène. En effet, un des jeunes hommes, Sacha, continue à subir des discriminations homophobes alors qu’il pensait y avoir échappé. Une haine qu’il va atteindre jusqu’aux effets personnels du personnage principal. Quelle tristesse !